-quent, l'une des choses léÿ plus encou-

dernier. : Ils cherchent à diseuter d'au- tres quertions, notamme:t le prétendu

_cette sorte c'est que quelquefois quel

Meighen,

“aQuel que soit l'Ouest, 11 est avänt sailtory, antimelgheniste, à dé:

rageanties au point de vue libéral du- rant Ja présente élection, c'est la ma- nière dont les forcés de l'Ouest s'unis- sent et évitent les luttes à trois can- didats dans. les prairies.

“la prospérité étant évidente dans toutes les parties du pays, les conser- Yateurs ne parient pas de ruine à cette élection, comme Îls l'ont fait en octobre

scandale des douanes, M. Dunning ac-

Cuse leg conservaieurs de mener une

odiuse campagne en sous-1Bain. “La difficulté dans uïe campagne

qu'un monte à la tribune et dit toui haut ce qui n'est destiné qu'à être murmuré tout bas Nous -avons eu l'histoire du “Margaret”. Quelqu'un à parlé tout haut des histoires qui étaient supposées n'être colportées ia mhkvoix., Ce qui est arrivé, dit-il, C'est qu'ausaitôt que quelqu'un a parlé tout haut de la croisière du “Marga- ret”, les libéraux ont demandé une en- quête. : Alors les accusations se sent évänoules ‘Voilà une rumeur mal m'était que. fausse! : ><

M. Dunnitié Etté Vautre cas d'un pér- sonnage Qui a dit toût haut ce qû'il ne fallait dire que tout bas. 11 révèle la déclaration de M. George-B. Nichol- son, députä ant d'Algoma, qui, à North Bay, aüfalt d'après la “Cana- dian Press”, porté des accusations an Sujet de l'état déplorable du service civil-h Otiuwa, bas et non tout haut. M. Nicholson a été obligé de démentir cette déclara- tion. M. Dunning lit des télégrammes du correspondant de la “Canadian «Press” vérifiant l'exactitude de son rapport.

“Non, déclare M. Dunning, il ne ‘s'agit: plus de crier à la ruine, nous swolei en présence d'une campagne de ‘halet@s, et tout parti qui a recours à de telles tactiques, n'est pas digne de «Ja confiance des électeurs de ce pays.” M. Duuning à la plus haute admira- tion pour M. Melghen conmime chef de l'opposition! . Comme destructeur, dit- ll, M. Melghen n'a pas son pareil au Canada. ‘Au lieu de former un gou- vernement crouplion comme il l'a fait, M. Meiïghen aurait demander un ajournement de six mois à la Chambre pour faire élire ses ministres. Lots-

qu'il fut batiu à a-Chambre-it-aurait-

demander la coopération des dépu- tés pour donner suite aux projets de lot à l'étude.. C'eût é&ié une conduite digne, mails ce n'est pas:la manière d'agir d'Arthur Meighen.

—— À 405 ——

Un démenti de M. Thornton

Brandon, Man. M. Meighen a pro- duit des télégrammés échangés par lui avec sir Henry Thornton, président des chemins de fer Nationäux, au sujet

de certaines déclarations’ faites par

des politiciens ef disant que lui, M, voulait intervenir dans la direction des chemins de fer Natlo- aux. Le premier télégranime est nûressé par M. Meighen à sir Henry Thornton et daté du 6 soût, ,11 se lit comme suit:

“On fait des décinrations disant que le présent gouvernement, dont moi- même, est intervenu ou interyient. ac juellemeut dans la direction, des aftali- tes des chemins de fer Nationaux. Je vous demande de me télégraphier, et de me dire s'il y à le moindre fqide- ment à ces déclarations et, #f tel est le cas, me dire exactement ce qui en est.”

Voici la réponse de air Héury:

“J'ai reeu votre télégramme du 6 noût, se lisant tcomn< suit (ici sir Henry cite le téxte du télégramme du premiet ministre) puis il ajoute;

“En réponse, je dois dire que l'ad- ministration du éhemin de fer Natio- pal n'a auçune plainte À faire au sujet de l'attitude du gouvernement actuel ou du gouvertement qui l'a précédé, envers la direction des ghemins de fer

. ; 5 #3 (l

À

«| fiées par les deux Chambres,

11 faHait dire cela: toût |

en vigueur selon son pouvoir statuaire et parce qu'elles avaient déjà été rati-

“Donc, dit premier ministré, ces lamentations ne manquent pas toutes de sincérité, mais la plupart du temps on se lamenie sans raison” |

Le premier rhinistre nie s'être aliéné les syimpathies de l'Ouest, comme cer- taius l'ont-prétendu et 11 déclare qu'il est aussi intéressé à l'Ouest du Cañada que les progresuistes qui vinrent à Ot- tawa, croyant que personne d'autre qu'eux n'avait de l'intérêt pour l'agri- culture et parlaient comme si person- ne, à part eux, n'avait vu une maison de ferme ou un champ ensemencé,

Les lois passées ne sont pas toutes perdues, ajoute M. Meighen; la preuve c'est que la plupart de ces lois sont maintenant en vigueur.

Parlant du bill Campbell touchant le grain, M. Meighen explique que cette loi n'a pas passé à la Chambre hante et qu'Ajnsi son gouvernement n'a pas le pouvoir pour la mettre en vigueur, Toutes Îles lois qui auraient pu être mises en vigueur par; M. King, s'il évait obtenu la dissolution, sont main- tenant en vigueur, dit M. Meighen.

Touchant les lois concernant une nouvelle évaluation .des {erres des sol- dats, M. Meighen déclare qu'aussitôt que san gouvernèment a été au pou:

ner par ‘la Chambre:'le Parlement

Pgo Montréal pond dique à et 2 courant. à HS | Avis aux intéressés de faire par-

de Macdonald, qui ont élu des pro- gressistes aux dernières élections. Par- lant des progressistes manitobains, il les a décrits, commé formant une an- nexe pervile du parti libéral. LE

M. Meighen a répété ses déclarations antérieures à l'effet qu'il ne veut pas un”-tarif prohibitif. “Je n'y ai jamais pensé et un tel tarif n'est pas néces- saire.” l

“Ce n'est pas la hauteur du tarif qui est importante; c'est le principe qui le dirige, c'est sa permanence, sa stabilité, Nous voulons donner une chance à chacune des industries cana- diennes, leur permettre de s'établir dans le marché canadien, ce à quoi toutes ont droit.”

“La-concuvrence fixera les prix, mais st elle ne le fait pas, nous le ferons avec le gouvernement."

“On a dit, a assuré le chef conser:

téction dans l'Ouest. Le parti conser- vateur est dans la même position qu'il a toujours ene; il véut un tarif mo- déré, un tarif protecteur pour tous les produits, agricoles et autres.”

Parlant de lt. réciprocité, M. Meli- ghen dit qu'il a défié tous les membres libéraux de la dernière Chambre et qué pas un seul n'a osé se levér pour déclarer qu'il serait prêt à imposer un tel traité au pays, s'il en avait l'ocça- sion. à

Len candidats au Manitoha

était prêt À les accepter mais “le chef | Présent dans le Manitoba:

du! parti Hbéral a refusé même de con- sidérer le sujet”,

DD 2——— M. King accuse M. Meighen de changer de principes selon les besoins

Edmonton M. Mackenzie King a tenu une assemblée, à Edmonton. ft à parlé de.la valeur éducationnelle shé- cialé de la présente campagne. Fille aura faii comprendre au peuple cana- dien les problèmes de l'autonomie,

M. Meighen change de principes aus- si souvent que l'exigent les nécessités du moment. Au début de la dernière session, alors que M. King n'avait pas de siège aux Communes, M. Meighen a prétendu que le gouvernement, étant privé de chef, n'avait pas le droit de gouverner, Or, à la fin de la session, M. Meighen, ayant accepté de former un gouvernement, s'est trouvé lui aussi automatiquement sans siège, et ses dé- putés sans chef à la Chambre, Mais M. Meighen r'a plus pensé à ces me- nus détails, preuve du sérieux de ses discours. M, King décrit la fin de la dernière session, Certains progrpssis- tes ont quitté leur parti et des séna- teurs conservatetrs clfbréhaient à in- fluencer le, vote aux Communes.” La coopération franche, ouverte, avait fait place nux sourdes menées, aux in- fluencés occultes, à l'intrigue. Il était désormais ‘impossible de gouverner avec dignité, et pour éviter au pays la honte et les salissures de tractations honteuses, il valait mieux demander au peuple de se choisir un nouveau parle- ment. D'autant plus qu'il était clair pour tout homme de-bon sens qu'au- cun parti ne pouvait plus gouverner, Après trois jours de conférence avec Son Excellence, qui refusa d'accorder ia dissolution, le gouvernement offrit sa démission. : :

Depuis un siècle, aucun gouverneur général n'avait refusé la d'ssolution à un premier ministre, 1] après tout que demander la même cho- se que le gouverne t et l'opposition.

kPour éviter la Cénsure”, dit un in terrupteur.

“Hay à péseu de vote de censure."

“Rotten”, reprend l'interrupteur.

“Sic'est ce que vous appelez le vote censure, vous n'avez pas tort,”

» .+

M. Meighen veut reviser en- tièrement le tarif

Deloraine, Man. “Nous devons re- viser entièrement notre tarif. 1] ne l'a pas été depuis vingt ans.” Tel est le

d'avenir que M, Meigheït a ex- posé à ses auditeurs à Déloraine. parlait daus les divisions de Souris

»

ne faisait !.

Nelson Joseph Myers, conserva- teur; W.-J, Ward, libéral-progressiste.

Neepäwa T.-J. Murphy, conserva- teur;: Robért Milen, libéral-progres- siste.

Marquette Col. H.-A. Mullins, con- servateur; J.-A. Glenn, libéral-progres- siste,

Portuge la Prairie Hon. Arthur Meïghen, conservateur; Ewen Mc- Pherson, libéral. *

Brandon D.-W, Beaubier, conser- yateur; Robert Forke, libéral-progres- siste,

Macdonald V. Schwitzer, conser- vateur; W.-J. Lovie, libéral-progres- siste.

Souris E.-J, Willis, conservateu#; James Steedsman, libéral-progressiste.

Lisgar W.-J. Rowe, conservateur; J.-L. Brown, libéral-progressiste.

Provencher Dr McFadden, -con- servateur;. Arthur Beaubien, libéral- progressiste.

Springfield Thomas Jay, conser- vateur; Dr E.-R?"R. Bissett, libéral-pro- gressiste.

Winnipeg Sud Hon. Robert Ro- gers, conservateur; J-S, McDiarmid, libéral, ch

Winnipeg Nord R'R. Knox, con- servateur; A.-A. Heaps, travailliste; Dr G.-B. MeTavish, libéral.

Winnipeg Centre-Sud W.-W. Ken- nedy, conservateur; J.-T. Thorson; li- béral.

Selkirk H.-M. Hannesson, conser- vateur; T. Bancroft, libéral-progres- siste, M + Saïnt-Boniface J.-P. Howden,. li- béral; T.-B. Molloy, indépendant.

Dans le dernier parlement la pro- vince du Manitoba était représentée par 7 conservateurs, 7 progressistes, 1 libéral et 2 travaillistes.

+ D ——

En un an, 500,000 automobi- les ont été détruites aux Etats-Unis

a ——

Une eompagnie d'assurance de New- York vieñt_de dresser une statistique des automobiles détruites au cours de l'année écoulée. Et cette statistique montre que 500,000 voitures ont été détruites ou endomaiagées par suite “d'accidents de route”, Ces accidents représentent une somme “T&. $218,000.- 000.

: Ée

EDMONTON -- Le Dr William-Char- les Laidlaw, sous-ministre, de la santé publique de l'Alberta, est mort subite- ment. d'une syncope, ; 11 était âgé de 52 ans.

MONTREAL JE. Morandville, de Labellé, est condidat conservateur pro. tectionnisie contre Henri Bourassa,

“Liste. des PET AT chotsis jusqu'à ,

ns TES à

ps

s “3 Population Manitoba— “192% , Brandon ......:...... 77 89,785 Liegar ,...4i ie 31,150 Marquete. . ….. PA «37,243 DORITR come ces + 41,725 Springfeld ..,.:..,... :4,186 30,836 Saint-Boniface ....., .+ 38,953 36,429

Winnipeg Centre-Nord., 39,681 39,142

Winnipeg Sud ...... :+ 40,865 32,943 Winnipeg Centre-Sud ,! 65,929 63,812

Saskatchewan— ; A 34,064

40,333 35,070

34,432

Saint-Boniface, Man. .. 14371 12,821 Swift Current, Sask, .. 4,173 3,518 Winnipeg, Man. ....... 191,356 179,087 Villes Beauséjour, Man. ..... 997 994 Big-Valley, Alta ....... 767 1,057 Blairmore, Alta ....... 1,611 1,552 Boissevain, Man. ...... - 783 825 Camrose, Alta ........ 2,000 1,892 Carberry, Man. ....... 833 794 Claresholm, Alta ...... 956 963 Coleman, «Alta ..... s.. 2,050 1,590 Deloraine, Man. ....*. 764 686 Estevan, Sask. ........ 2,339 2,290 Grande Prairie, Alta ... 917 1,061 Hanna, Alta ,,....... 1,401 1,364 Hartney, Man. ........ 631 576 Herbert, Sask. ........ 297 827 High River, Alta ...... 1,377 1,198 Indian Head, Sask. .... 1,814 1,439 Innisfall, Alta ........ 944 941 Kamsack, Sask. ....... 1,947 2,002 Killarney, Man. ...,... 902 871 Kindersley, Sask. ..... 987 1,003 Lacombe, Alta ........ 1,143 : 1,133 Leduc, Alta .......... 831 756 Macleod, Alta ........ ‘1,692 1,723 Magrath, Alta ........ 1,200 1,069 Melfort, Sask: ..,...... 1,695 1,746 Minnedosa, Man. ..:..:. . L682 1,506 Moosomin, Sask. ..... 1,122 ° 1,099 Morden, Man. ......... 1354 1,268 Neepawa, Man. ....... 1,833 1,887 Olôsi AM ,i erex ire 1,007 764 Pincher Cregk, Alta .. 1,003 888 Ponoka, Alta ......... 2,232 1,594 Raymond, Alta .,..... 1,799 1,394 Selkirk, Man. ......... 4179 3,726 Souris, Man, .......... 1,612 1,710 Stettler, Alta ........, 1,126 1,416 Stonewall, Man. ....... 1,043 1,112 Swan Riyer, Man. .... 900 503 Taber, Alta ...:....... 1,343 1,706 Le Pan Man ...:.,.., 1,922 1,858 Transcona, Man. ....., 5,212 4,185 Vègreville, Alta ......, 1,721 1,479 Vermilion, Alta ....... 1,204 1,272 Virden, Man. ,......... 1278 1,361 Vulcan, Alta :......... 775 641 Wainwright, Alta ..:.. 1,022 976 Watrous, Sask. ....... 1172 1,101 a En attendant le futur délé- gué apostolique

————————— © ——————————————————— ————————————————"———— ————— —…— . ———— ——————

Ottawa En l'absence de S. E, le délégué apostolique et en attendant l'arrivée de son successeur, M. l'abbé Bearzotii agit comme secrétaire de la délégation, Le nouveau serrétaire remplace Mgr Grivetti, décédé le. prin- temps dernier, à l'Hôtel-Dieu de Mont- réal: 11 est Âgé de 51 ans, et il a été professeur de droit canon dans les principaux collèges romains. Le R. P, Lemmens, curé d'Eastview, remplis- sait les fonctions de secrétaire particu- lier, en attendant l'arrivée de M. l'abbé Bearzôtti i

6,766.

‘A. P. EUGENE LECOQ, O.Mi, qui vient de mourir à Rochester, Minn.

UN VENERABLE MISSIONNAIRE QUE DISPARAIT

Le R. P. Lecoqg, OM, est mort à Rochester, à l’âge de 76 ans L

ST 4 À

R. P. Eugène Lec6q, O.M.I. vieux missionnaire de l'Ouest, est mort mer- credit à Rochester, Minn., des suites d'une opération. Le corps à été ra: inené à Saint-Boniface samedi matin. Une vingtaine de Pères Oblats, qui ve- naient terminer leur retraite an- nuélle, sont allés le recevoir à la gare et se sont rendus processionnellement à Aa chapelle, du Juniorat, un ser-

mice a 46 chauté par je R. P. J.-P: Ma: | À des RR. PP. Bellemarg Lie. ‘comte diacré et soué- Th

et Jeannotte, F diacre. La dépoutilé môfttélle à'êt6 ensuite dirigée vers Lebret, à eu lieu l'inhumation. S. G. Mgr Mathieu assistait aux funérailles.

Le R. P., Lecogq était au Mans, en France, le 23 février 1850, Ordonné prêtre en 1874, il vint au-Canada en 1879 et fut envoyé dans les missions du Cumberland, sous la diréction du R. P. Bonald, qui est âgé de 80 ans et vit encore à Saint-Boniface.

11 fonda plus tard la paroisse de Saint-Louis de Langevin, dans le dio- cèse de Prince-Âlbert, pis cellés de Saintè-Rose du Lac et de Sainte-Amé- lie, Man, I] passa un bon nombre d'an- nées duns ce dernier district, il construisit la grande école indienne actuelle: À la mort du R, P. Hugo: nard, il fut nommé principal de l'école industrielle de Lebret. En 1920 41 de- vint curé de Saïnt-Laurent, Man.

Mailgré ses 76 ans, le R. P. Lecoq était encore très alerte. Le mois der- nier fl s'était rendu à Rochester et y avait subi une opération. Des com- plications survinrent qui entraînèrent sa mort mercredi soir.

La Liberté offre $es respectueuses sympathies à la Congrégation des Oblats, très éprouvée depuis quelque temps par la perte de plusieurs de ses membres en vue.

Mort de Mgr Larocque, évé- que de Sherbrooke

Sherbrooke 8. G. Mgr Paul Laroc- que est décédé dimanché dans sa ville épiscopale. Le vénérable évêque était âgé de 80 ans et sa santé était ébran- lée depuis quelques années. à Sainte-Marie de Monnoir le 28 octobre 1846, il avait été ordonné prêtre en 1989 et nommé évêque de Sherbrodke en 1893. ; È ! à

Le feu détruit l'église de Louiseville ÿ Trois-Rivières L'églisé catholique de Louiseville, P. Q. a élé complète- ment détruite par le feu samedi matin. La perte est de $300,000; les assuran- ces s'élèvent à $200,000.. Cette église contenait des reliques datant d8, 1828. Construite en 1921, elle était une des plus belles églises du Canada, 0e +

NEWDALE, Man, Mme Cecil Mar- shall, 4 ans, a étranglé ses deux peti- tes filles âgées respectivement de 7 ans et de 11 mois, Depuis un an elle pa- raissait mentalement dérangée, :

FRT WILLIAM Quatre cheminots ont été tués instantanément et ‘deux autres blessés dans une collision entré leur wagounet et un traie de marchan: disess s 4141? ui

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{fonctionnaires municipaux ont été inés

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re: « le Mexique re, l'Eglise et le gouvernement

mandé, Mais les gens, postés sur les toits ét duns cigcher de l'église, ont fait feu sur les militaires. La batalile a duré toute la journée et ne s'est terminée que le lendemain lorsque les militaires ont reçu des renforts, Ces derniers ont ensuite exécuté deux pré tres et les chefs des civils. Re La population d'Acamoaro a aussi réfusé de remettre les églises aux :au- torités militaires.” Deux ingénieurs du gouvernement qui ont tenté d'aider les

et coupés en morceaux par la foule: Les prêtres ont 64 vain supplié la foule de ne pas faire d'excès: Les troupes sont arrivées et ont exécuté trois chefs et peut-être plus. Lés prêtres tatlio- liques ont pris la fuite et les au sont à leur recherche, 74 L'archevêque raconte qu'à

ou trois chefs des citoyens. ÿ ) Depuis ces désordres, les Etats .dé Michoacan et de Guanajuato sont rén' trés dans l’ordre. Mgr Flores est venu à Mexico ‘hour conférer avec d'autres membres de Fépiscopat: : d La main de 14 franc-maçonrerié’ Rome C'est la franc-maçonnerie |: internationale qui est au fénd de Îa persécution tyrannique des catholiques par le gouvernemetit mexicain, déclare

le journal semi-officiel,“Tribuna”, dans une vigoureuse diatribe du gouvérne-

ï

É il

ment Calles. [pas ienoréé. En plus du cliceur “Les mesures du gouvernement g » Paniers fanfares En mexicain contre les cathuliques, mesu-: ms; RE ds ÿ

res qui ont atteint une forme des plus odienses et des plus exaspérantes, ne sont: pas justifiables par la nécessité d'une défense contre l'Eglise. -dit le} journal, C'est une persécution maçon- nique, répondant sans restriction aux canons fondamentaux de négation de

tous les principes religieux. La franc: | maçonnerie internationale a obtenu à force d'intrigues l'application de son programme au Mexique” .

nr MAT):

‘El

vom de la justice élémentaire, vient de publier une longue déclaration dans | le but de réfuter “les fausses déciära tions et les imputations” que lés mem- bres du gouvernement emploient àvéc les représentants des journauf éträn: gers pour tenir les catholiques nef cains réSponsables de la présente con: troverse. ni : Dans cette déclaration on nie que les cathoïiqueé soient responsables situation Actuelle. On rappéile les rés- À trictions qui sont imposées par les ciät ses religieuses de la constitution et déclare qu'elles rendent impossiblé ‘1à vie de l'Eglise au Mexique, On dit aussi que l'Eglise cherche seulement

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Grand’messe en pleis dfÿ; à 10 b. 30 Vêpres à la Grotte et Procession à 3 b.. a ——

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és nt, f à plis que le radio. Ces

‘sont en elles-mêmes non seulement inoffensives, mais ‘santes. Elcs fe deviennent ceux Qui s'en émparet et

bien(ai-* tupatsts qué ‘ptir Ta Volôrité

les exploitent pour la diffusion du ‘mol. Entre des mains honnéteé, elles se tränsforment eh pré-

bien publie: cire des Mains chrétiennes, elles se fiaussent à un rôle de véri- C'est done par le bon film qu'il faut triompher du film cor- “ruplètr, tout comme c'est par la bonne presse qu'il convient

de Autter contre Ja mauvaise, ve On le comprend esfin, on s'orgänise, et ces derniers mois, ‘Moute une floraison le projections cinématograp cs "éduca- inices et pieuses a surgi du sol toujours fécond de la France chrétienne. De vreis prêtres, présidés et conduits par un véri- table éyéque, ont. interprété le film les Sept Sacrements et le Sacrifice de la Messe. Le succès de ces projections a été te qu'on va conlinuer et que l'on prépare tes principales céré ies de l'Eglise. : Pare "Dans un autre ordre d'idées, Piérre l'Ermite, l’apôtre d'avant-garde de toutes les oeuvres sociales modernes, réalise * sur l'écran des merveilles de bou goût, d'attrayants ct exaltants spectacles, avec ses beaux romans: Comment j'ai tué mon en- fant, a Femme aux yeux fermés, avec l'exquise Graziella, de Lamartine, et la Rose effeuillére, revit la suaye et héroïque Carmélite de Lisieux. Pour demain, il nous annonce,la Grande Amie-et d'autres films plus spécialement destinés à da jeunesse. ! Réjouissons-nous de ces bonnes notivélles, Autant lc ciné- ma pervertisseur est tout-puissant dans son ocuvre de dégra- dâtion'môrale, aütant Je bôn Linémia péut orienter lès âniès vèrh 18 "plus hautés cimés du bien./ Et celui-ci ne le cède en rien à l'autre en intérêt et en valeur artistique. Bien au contraire. En Frünée ét'en Belgique, des auditoirés blasés pourtant ct, en certains endroits, pou suscèplibles de sympathies religieuses, ont’applaudi avee-enthousiasme ct émotion les nouveaux films qui se répandent rapidémenit Souliuitôns qu'ils viennent bientôt chez nous, missiontraires du bien, du vrai et du beau, apporter leurs discrètes leçons de

.. goût, de distinction morale et d'idéal chrétien.

4" te Donatien FREMONT. /

. Notes sur la paroisse de Lorette, Man.

Vous aimeriez à connaître Notre- Dame de Lorette du Manitoba? Rien de plus féclte. " ‘? PU.

En résumé, c'est un petit centre ca- hüdien-françcais voisin de Saint-Boni- face. Cétle paroisse, qu'ôn ne peut dire ni ancienne ni nouvelle, est très bien organisée sous le rapport relt gieux, scolaire, civil et matériel.

Mais, comme ‘rien ne vaut autant que les renseignements pris sur place, faîites-nous donc l'honneur d'une visite à Larette/ C'est si près: tout juste soisè ““ifles et demi de cathédrale de Saini-Boniface à l'église de Lorette! Et vous avez le choix de la route: par vole ferrée, Je wagon du (Canadien Na-

tional vous laïssera à quatre milles de l'église; par la route publiqfie Daw- son el c'est vraiment plus pratique vous descendrez de voiture à la porte du présbytère, Et puis, tout en filant à belle allure, nous eauserons un peu d'histoire :

Entendu, nous y allons!

Preñions une voiture en face de l'ar- chevêché de Saint-Bcuiface. Allant à l'est, au sud, et à l'est de nouveau par les rüés Cathédrale, des Metirons et Marion, nous voici sur la grande route Dawsoë qui nous dirige vers le sud-est.

:Déjà nous avons psreouru quatre ou cing milles à travers champs et prai- ries, et vous avez la douce, iusion d'être en pleine campagne, idin des bruits et de la fumée de la ville? _Dk. trompez-vous, l'ami. Une affiche, là, à votre drolte,.vous avértit que vous n'êtes encore qu'aux “City limits of St. Bouliface" (en bon français.) Bon!

tâches d'avaler celle-là: nous ne tar- derons pas à retrouver notre belle lan- gue française, +

Voici, À votre droite encore, à “la fourche" pardon! au croisement du chemin te site d'une ancienne étoix.

" se grouper Îct des familles cétholiques asset nombreuses pour former une ,pa- roisse, fit ériger une grande croix

jour, Vainoue par le temps et victime de la négligence, elle est tombée. Quel domimagé qu'on n'ait pas songé à la relever! 11 est malheureusément si rare, le long de nos routes mianitobai- nes, ce signe -réconfortent de notre rédemption.

Quelques pieds à peine et nôùs som- mes au “Côteau de la bascule” (hefn* nous retrouvons le français!) Un côteau? Où? Gageoïs que vous y êtes paské ‘et repassé cent fois rsut-être, comme presque tous les autres, sas soupéôonner même que vôus franchis- siez ün côteau! Voyez-vous, c'est une particularité du Manitoba: les aspé- rités du terrain sont si faibles que ça prend rien moins que l'oeil et le niveau d'un ingénieur pour vous faire croire qu'il y a accident de terrain. A l'oeil nu, vous n'y voyez rien. Eh! pour- quoi n'aurions-nous pas notre côteau? Sainte-Elisabeth a bien sa “montagne” fu sommet lagtelle je vous défie de sentir veftige!

Mais pourquoi le côteau ‘‘de la bas- cule”? Cela doîft rappeler quelque fn- cident typique.

Après le côteau, c'est le “Mpsskeg aux liards”, d'une réputation peu. e- viable. Ce hourbier sans fond était la terreur des voyñééurs; on ne le traversait pas sans en remporter quel- ques éclaboussures. Or! cés liards qui l'entourent, s'ils pouvaient parler, gne d'aventures, de découragements, de pa- roles peu édifiantes proférées ils fous rapporteraient!.. Aujoürd'hui encore, les anciens n'en peuvent parler sans un serrement de coeur. +

A dix milles du point de départ, “Prairie ,Grové”. Joll nom! C'est tout ce qu'il y a. Les âhéiens appe- laient cet endroit le “Côteau de Ché-

nm

paroisses: Saint-Boniface, . en arrière de nous, Lorelte avant et l'Isle de Chênes (NotreDams de la Miséri- corde) à droite. : +

de vous dira)

Ce FE

: Tut le tem nous Alan our

les catholiques qui vien-} x draient s'abriter vous ses bras. Un

Îsistes célèbrent encare la grandeur. de

lci nous sommes à la limite de trois

Er LE D y 4, Pl

à l'angle nord-ouest

pi4 Que le éégouvreur de Ouest canadien, La ao) construisit le fort Saint-Charles en 1732, À ce fort se rattache un souvetiir doulouréut:

Ja mort tragique du R. P. Aulneau, 8.3.7

de Jean-Baptiste, fils aîné de La ,Vé- rendrye, et de dix-néuf compagnons, ‘tués par les Sioux, 19 5 juin 1726, à l'Île au Massacre, 21 milles de li et inhumés sous la chapelle du: fort. ‘Après de lingues recherches, les RR, PP, Jésuites, du Collège de Saint-Bo- niface, découvrirent en 1908 les-ruines du fôrt et les ossements des victimes. L'entreprise de la route Dawson par %e gouvernement d'Ottawa fut un pre- mièr erpiètement du gouvernement Lédéral sur les droits exclusifs du Ma- nitoba. Elle suscita, mais en vain, une protestation du gouvernénr W. Mc- Tavish, et. indisposa, grandement la population. C'était un acheminement vers les trotbles de 1870. Ce premier empiètement fut suivi, de la part du £ouvernement d'Ottawa, de plusieurs aütres infractions aux dictées les plus ‘élémentaires de la justice et du res- péct dés droits. 44 F .. Mais n'est pas Îci liéu de ra- conter cette histoire, Qu'il suffise de dire que l'Est: canadien ne doit pas s'étonner si la population, surtout ca- tholique et de langüe francaise de l'Quest, nejsè pâme pas d'adintration devant tous Je# faits et gestes de, la machine fédérale et de certains grande hommes d'Etat de cétte époque, Ce n'est qu'en volant certaines erreurs politiques, bris de parole, etc., à notre égard, que_ l'histoire a pu hisser au pinacle de la gloire quelques figures des plus marquantes de ces temps-là, L'arpenteur ehargé d'ouvrir la route

Daw$on était John-A. Snow, qui réus-

sit à s'aliéner toute la population .et finit par être condamné par les tribu- naux pour avoir vendu des boissons enivrantes aux sauvages. La troupe qu'il commandait était tout à fait digne d'un te] ehef. N'y avait-il pas 1 tristement fameux Thomas Scott, que fit exécuter en 1870 le gouvernement provisoire? Dans leurs élucubrations du 12 juillet, certains fervents Oran-

ce martyr: Arrivé au pays avec une réputation. peu enviable, Scott voulut un jour montrer son savoirfaire. Mé.

conten$ de son clef Snow, il essaya

de le ñoyer. Heureusement pour Snow, un Métis canadien vint à son secours et le sauya. F

N'est-ce pas que les autorités fédé- rales nous envoyèrent des hommes illustres pour nous déniaiser? La gé- nération de ces hommes n’sst pas en- core éteinte; nous en savons quelque chosè au Manitoba.

Débuts de la paroisse

L'origine de Lorette est quelque peu obscure, Impossible, jusqu'ici, d'en fixer la date précise. Quelques famil- les mélisses s'y établirent vers 1866 oùu.1867. Celles de François Bériau, Toussaint Vaudry, Elzéar Lagimodière comptent parmi les premières. -

Jean-Baptiste Desautels (Lapointe), un, Canadien de Saint-Paul de Joliette, 7. passa l'hiver avec sa famille en 1868-1869. Il s'était placé sur la terre voisine de l'église actuelle, à l'est (pro- briété d'Evsène Désorcy jusqu'à ces douts derniers, des Italiens en ont fait l'acquisition, et y construiront bientôt une fromagerie). M. Desau- tels alla, l'année suivante, se fixer définitivement à Sàinte-Anne-des-Chê nes:

M. Guillaume Charette fixe au prin- temps de 1860 l'artivée à Lorette de la famille, Jean-Haghtiste Gauthier, première famille ganadienne qui s'éêta- blit d'une façotr stable dans la parois- se, mais il semble y afoir erreur de date. «

Quoi qu'il en soit, dès 187%, la mis sion des “Petites Pointes de Chênes”

du 4

serait peut-être tenté de, sourire en lisant ce qui précède. 11 trouverait cela un peu fagte et se deman

ce qu'oft à faite MM. E. Lagimodière et N. Landry, comme “limites” de la lerre.

N'oüblions-pas que cette transaction se faisait avant que le terraïn ne fût arpenté. 11 ne pouvait donc pas être question de Lot No, Section, Town- ship, Rang, ét autres caprices de dé- taïls. Alors, le moyen de préciser mieux qu'en mentionnant les voisins?

Le contrat fut faît le 7 juillet 1874 et “sont intervénus aux présents, le Révérend M. Dugast et le Rév. M. Fit lion, toës déux, de l'Archevéché de Saint-Boniface",;:, "1

Suivent les noms des signataires:

Louis Thibault, Alexandre, arche- vêque de Saint-Boniface, Geo. Dugast, 3-D. Fiilion. ‘Témoins: J'Bte Beav- din, O.MI, A.-A. Fôrget-Despatis.

Le contrat ne fut énrégistré, à Säînt- Norbert, que le 16 mai 1878, soûs le ho 1057. $ * La propriété comprenait 289 acres et fut payée $300. -

(A suivre)

NOTE Cette terre fut certaine- ment une des premières, sinon la pre- mière prise et occupée à korette, M. Thibault lui-même n'y demeura jamais, mais il y tenait un fermier qui prenait soin de ses animaux, une centaine de bêtes y faisait le foin et culti- vait un peu d'avoine sur les endroits

plus élevés. Le dernier fermier fut un M, Zastre, qui alla ensuite se fxèr à Saint-François- Xavier.

M. Louis Thibault, célibataire (de nos jours il eût été bien chez lui à Lorètie) était frère de M. le grand Yicaire J.-Baptiste Thibault. . A Saint- Boniface, il tenait magasin et boutique de forge près de la Maison Vicariale des Soeurs Grises, au sud C'est de lui que vient le terrain occupé par l'hôpital de Saint-Boniface: inême le premier hôpital ne fut rien. autre que la maison, de M. Thibault.

Les anciens vous donnent en peu de mots l'importance de ce négociant en disant que tous les ans “i] envoyait une “berge” à Ja baie d'Hüdson”.

Après la mort de son frère, M. le Grand Vicafre, il ne süût pas garder ses

positions et dut retourner dans la pro-

vince de Québec. ,

Baltimore, M4 Dans un câblo- gramme adféssé à Gessges Clemen- ceau, ex-premier ministie de France, Richard-E. Edmonds, éditeur'du “Ma- bufacturers’ Record”, déclare que “des millions d'Amériéains approuvent cha- Que mot de kx lettre ouverte écrite l'illustre homme d'Etat français an

truite, et les catholiques se réunis. |:

|

ke if 1e +

1 ; il

iFe

3 HE

DE

A son retour, que pouvait-il dire sur Mer la situation des nôtres, sur leurs espé- sage rances, sur leurs luttes, sur le moyen "6 de s'établir, etc? S'il est sincère et ste one. honnête, il n'a pas parier. ü a mseuse

de La clarté, de ln vérité. et de In ds

p F

i

jrs ;

ul

renseignements. Jean songe avec quelques amis à retourner dans le bat de s'établir.

3.—Bustache T.. 24 ans dans les mêmes conditions que ses deux copains. mef conditions que ses deux copains. est-il allé travailler” Chez qui? Ce qu'il a fait? Ce qu'il n'a pas fait? Mys- tère! Plus on ‘interroge. plus les ear- tes s'embrouillent. Cependant, à l'en- tendre dire, il à été mal nourri, mal couché, mal payé, mal traité, mal ren- seigné, mal, mal héureus

Et ceux qui l'entendaient se pre- naient quelquefois à sympathiser avec lui et à maudire ce pays de l'Ouest

UN

dy Manitoba Depuis vingt ans sur La bréche. cet évêque plein de feu. tmpaisf. à vaïlammens batté pour

.

quiétait un pet. ta mère et mél: on se savait pas trop quoi penser. $ Eh bien, soyez tranquies mainte-

AU 4 4"

| fl

l'en même témpe. et fort éloquem- pour leur province mécobnue, pe concitoyens de l'autre race furent impressionnés de votr un. Sronpe aussi impossgt d'excursiornis- here

se avet ane sémiration non dis Des ét l'un d'eux, le “Colonis!” de Victoria. éérivalt en contlusion d'ue F aitiéle fort sympathique : LR. | ést regrettable qu'un nombre (+ comparativement petit des citoyens de + Wieteria puisse converser couramment en franfais Nos écoles s'eflorcent de Y rébééier À cette infériorité le plus *8t possible Elles espèrent qu'avant * lofftèmps un nombre considérable de of gtadnés des “High Schools” et de ”’TUniversité pourront connaître le fran RES pour Le parier. Dans l'intervalie. grâce à la politique éclairée des auto- * rftés éducatrices du Québec. il 2y a pes de barrière de langage entre nos Ÿ widieurs et l4 population des provin E es» honerent de leur présence LE 2 | US paint qui nous à par‘icurièrement frappé, ce sont les chaudes sympathies Vidnt nous fûmes lobjet de la part t'es uutorités universitaires Nous Dons Conmmaissions plusieurs amis dans | ts miliezx mais nous avons pu cons- | tater quels rapports cordiaëx existent | tpm les chefs des universités’ de | Ÿ l'Omest et ceux de nos universités fran- | @tlees. M le chanoine Chartier s'est | Du A souligner cet état de choses con- sablant. Il semble que si l'on pourait t'avastriire la question du français à la hssse politique pour LA remettre |

Miles des éducateurs professionnels,

DR: ol ts

; an ti

Je m'ey vondrais de ne pas mention- ner le service de tout premier ordre donné par la compagnie du Pacifique Canadien aux exeursionnistes pendant ceite longue randonnée de trois se- maînes Le programme avait été dres- avec un art véritable et un remar- quabie souci des plus petits détails. “Tout avait été prévu, calculé, et ja- mais l'organisation ne fut prise en dé- faut. Le personne] du train -— tout de langue française = était plein d'at- teutions pour ses clients. , Et que dire de la supériorité de la table? 11 suf: } ra sans doute de nommer le chef cui- lsinier de dire convoi spécial, qui n'é- tait autre que Louis Charnay, celui-là même qui fut atiaché au.irain du Prin ce de Galles à chacun de ses vÔFages au Canada Le maître d'hôtel était

Jean Laroche, une autre célébrité cou- |

nee pour son exquise courtoisie.

C'est M. P-E. Gingras, le nouveau représentant frañçais du Pacifique Ca- | nsdien à Winnipeg. qui avait la direc- tion du convoi, et il peut se flatter d'avoir conquis à ce poste une envia- ble popularité. Quant au bataillon des journalistes, il était commandé par M. Raoul Clouthier, publiciste français du Pacifique Canadien, dont la férule fut débonnaire et toujours joviale. Ces deux sÿmpathiques compatriotes con- tribuèrent pour leur large part au suc- cès et à l'agrément du, Noyage.

AL le chanoîsé Emile Chartier, vice- recteur de l'Université de. Montréal, qui dirigeait l'excursion, s'acquitta de

“isa tâche avec un tact suprême, s€ fai- Îsant tout à tous, tandis que rayonnait autour jui le charme communicatif de son sourire affable. Au cours des réceptions il eut à prendre la parole, "il le ft avec une réglle distinction, .et il sut aussi mettre en valeur le talent e1 la compétence de ses compagnons de voyage.

° L 2 LA D

S'A m'était permis, en terminant, de Loter une impression personnelle à titre d'unique représentant de l'Ouest dans cette excursion, je dirais que le plaisir fut double pour moi de visiter l'une des plus belles parties du Ca- nada en compagnie de gens du Québec.

Nouveaux Directeurs

7 du Pacifique Canadien

York Cigb de Topanto et se tient en

{font mieux connaître et maintiennent

tel, mais n’y prenait jamais ses repas. L'hôtelier lui répétait chaque jour: Vous dinerez aujourd'hüi, Non, répondait invariab! zet, j'ai promis d'aller chez des amis. | Et l'hôtelier, désolé, s'écriait: , .— Quel eur pour moi, senort ; —— | Vous me couvrés de ridicule! C'était faire d'une pierre deux Coups, Or, quand l'auteur de “Carinen” de- car lorsqu'on habite à quinze cents mil-} manda sa note, il y trouva: les de Montréal, les occasions sont “Dix repas: cinquante pesetas!" assez rares d'entrer en contact intime | Maïs je n'ai pas pris ces répas! avec un groupe aussi considérable et protesta Bizet. aussi distingué de-compatriotes de} Si vous les aviez pris, ce ne serait l'Est. que trente pesetas, dit l’hôtelier, J'ai surtout apprécié la bonne for] + Ah! et les vingt autres pesetas? tune de vivre deux semaines entières C'est pour le ridicule, senor! à côté de journalistes d"“en bas” qui, En tomps d'élections

à deux ou trois exceptions près, fai- Au marché Bonsecours, À Montréal. ro Jeur premier voyage dans! En attendant les acheteurs, deux bra- l'Ouest. Leur ardeur à se documenter |, cultivateurs discutent, L'un est sur le pays et à.s'initier à nos problè-|,;,5ge et l'autre bleu. Tous les argu- mes a été pour moi un constant sujet | ments sont épuisés, et les deux chefs, d'édification. 11 est agréable de pen-| nt reçu, à tour de rôle, de sévères

ser que les lecteurs de os confrères | bourrades, quand le bon bleu procläme ont bénéficié et continueront de béné- | {rjomphalement: be

ficier par la suite des lumières qu'ils] C'est-y ton King qui aurait mis sont venus puiser aux sources. son fils à l'Université Laval, hein?

Vivent ces excursions de l'Est \jvers Le bon rouge restait coi, quand à l'Ouest et de l'Ouest vers l'Est qui, en quelques ‘päs, une brave femme, trô- élargissant notre, patriotisme, nOUS | nant sur une voiture lourdement char- gée de légumes, riposte vertement:

Quien, cet homme, y peut-y.… Y'est pas marié, hein? .

Le bleu, un instant Short sort sa blague, bourre #4 pipe et proclame sentencieusement : -

- Eh ben! | ton King y'a tori, y'a ben tort... Ad mi annos! < j!

L'Anglais Un de mes oncles est mort à l'âge de 105 ans,

‘Américain Môi j'ai perdu le mien l'autre jour. il venait d'entrer dans sa 120me année.

Le Canadien froidement Moi je n'ai pas grand'chose à dire, si ce n’est que personne n'est encore mort dans ma famille! ñ

———— 2 D 2

MONTREAE-—-Les deux vacances aù, conseil d'administration du Pacifi- que Canadien, créées par la mort de sir Augustus Nanton et sir Thomas Skinner, viennént d'être comblées par la nomination de l'hon. Reginald Mt-

LS: PAULE. cinanas, le nouveaw représentant français du Pacifique Canadien à Winnipeg, qui dirigeait le train spécial du voyage de l'Université de Montréal.

les liens de famille! Donatien FREMONT,.

POUR RIRE

Un insecte...

éle-teur

Les magistratä muni- peux usalent jadis, en Aliemagn?, d'un -sin*ülter moyen pour choisir leurs chefs. Lo échevins de certaines villes, surtout en Westphalie, s'en remettaient pour cela au sort, mais de quelle singulière façon! Ils se plaçaient autour d'une table, de façon à ce que l'extrémité de la barbe de chäâcun d'eux en vint tou- cher le dessus Au beau milieu de cette table on plaçait un petit insecte. ün pou, (puisqu'il faut l'appeler par son nom). Après avoir erré quelque temps de droite et de gauche, l'insecte ainsi élevé à la dignité d'électeur, ne manquait pas de se réfugier dans l’une ou l'autre des barbes présentes, dont l'heureux possesseur devenait, de ce fait “consul'; c'est-à-dire chef des éche- vins.

On ne connaît malheureusement pas

deux de Londres.

———— PORTAGE-LA-PRAIRIE, Man. -- M.|

l'origine, qui doit être curieuse, de ce | Ewen McPherson, avocat, a êté nmmé singulier mode de votation. La tradi- | à l'unanimité candidat Hbéral pour tion ne dit pas-non plus ce que l'élu | faire la lutte à M. Meighen dans Pom

faisait ensuite de son électeur! tage-la-Prairie.

Kenna et de M. E.-R. Peacock, tous |

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Aux

C'est avec un sentiment très vif plaisir que nous notons que M. J.-A. Banfield, l'un de nos commerçants les plus en vue, a accepté la.nomination comme candidat see due dans Winnipeg Centre- Nord. #4

M. Banfield n'a pas besoiri d'être présenté aux citoyens de Win- nipeg ni du Manitoba. 41 réside parmi nous depuis près de 60 ans, et : il est connu comme un homme d'affaires capdble, parfaitement sûr, un homme qui, nous eh avons la conviction, sera d'une réelle valeur comme législateur de notfe pays. M. Banfield est dans la ville de Québec il a habité jusq pe environs de 1880, époque il se décida à visiter le Manitoba, « Après une inspéction du pays, il fut persuadé-qu'un gränd avenir y était réservé à ses habitants. Avec beaucoup d'autres citoyens, il connut le premier ‘boom’ de Winnipeg, à la suite duquel il décida de fixer son sort aux destinées de l'Ouest canadien.

M.‘Banfield a tdujours pris un vif intérêt au bien-être de l'Ouest, et depuis six ans, il est président de l'Association des marchands de

détail du Canada; association qui a des bureaux dans toutes les villes principales de l'Atlantique äu Pacitique. Un homme qui détient cette position doit avoir des qualités d'une grande valeur pour nous. C'est avec un grand plaisir que nous recommandons aux électeurs de coopérer de toutes les façons possibles à élire le candidat conservateur, M. J.-A. Bantield. ,

FEMMES MALADES.

| ,

Agissent sûrement dans tous les cas de :

- Pauvreté du sang Dérangement Beau mal : Irrégularités En janvier 1925 j'étais fai-| boîtes lorsque je sens mes for: ble, je n’avais pas d’appétit etices diminuer. J'ai fait pren- ma digestion ne se faisait pas, dre des Pilules Rouges à ma mais les Pilules Rouges quel jeune fille qui était faible. A j'ai prises m'ont donné des/elle aussi elles ont fait grand forces, ont toniñé mon estomac [bien.”? Mme George Dufour, et ont aésuré le retour de ma 1, Lafayette Lane, Haver- santé, A mon avis, c’est le!hill, Mass. seul remède qui soitaussi bon. ?? À ‘“Pendant au-delà d’un an Mme J. Roy, 64,rue Bérard, ii 4 faible etai souffert

Montréal, de maux de tête, de reins et de

‘Pendant longtemps j'avais certains troubles particuliers eu à faire un travail très dur|très déprimants. J'avais eu à et je m'étais épuisée. J'ai été faire an travail dur et soutenu ensuite pendant des mois traf-let je savais que ma mauvaise nante, nerveuse, souffrant de santé en était la conséquence, maux de tête, de douleurs à Après quelques mois de ména- l'estomac, de palpitations delgement, he‘constatant aucune cœur, J'ai employé les Pilu- jeméiontion, j'ai pris des Pi- les Rouges pendant deux mois (lules Rouges qui ont rapid et ce Tut suffisant pour re- |ment relevé mes forces et ont

santé... Depnis, je. w'ai + Dane” Madame Tancrè- fiance que dans les Files de Côté, 63, rue

Rouges et j'en prends quelques St-Hyacinthe, P. Q.

Mélancolie - Troubles nerveux . Tiraillements Chlorose, anémie Meuse de reins | Migraine

" Rouges, que je savais un remède, robusté et bonneidissipé tout ce dont j'avais à é ag : nn rer Sr

ayez l'assurance que les‘ i 194

PILULES ROUGES.

Palpitations de coeur Troubles d'estomac Etourdissements

‘Je ne savais quel moyen|de # heures du matin à-8 heures employer pour acquérir les for- du soir (excepté les dimanciiss ot ces dont j'avais besvin pour |fêtes religieuses). Vous sareï sa- l'entretien de ma ‘maison et le tisfaites des conseils qu'ils vous

impossible de « k selanes à les Rouges qu’elie m’assura in-|meilleur marché, faillibles, En eflet, l’empli Éd AVIS: Soyez énergiques pour

était dissipé; le matin, ag Je-|"®e Reusesipeur les Femmes

|ver, je me sentais alerte et bien - + : . [boîtes de bois, l'étiquette porte

les bien. Chez tous lès mar- u'ill CONSULTATIONS GRATUI- $ L'on ler J'ai alors em 7 PE os mp

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a ee contnntetée A2

D SR US ss ni se en RE af RL ag

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Ù Mon Dieu, ous le vontez et cet arrêt ést sage. É PR 2 co en lébet. et te _: N faut que le raisin se meurtrigse au pressoir, : pt

m, A

L £ -" Ainsi le coeur humain, pour vous étre agréable

F 4 < Et &e donnèr à vous en affrande acceplable,. 7”.

; -]- * Doit étre à votre autel broyé par la douleur

"A: Ethressentir du feu la dévorante grdeur,

#7. À Se qui mous apparaît agonie et détresse pee é

KR Est souvent à vos yeux indülgence et tendresse. faisxs À: ! | £ L SE “7 À robes à ma poupée. en atten- M 114 LE. Vainemert nous cherchons quel est notre destin, Ke | rot HA Vous savez l'avenir: vous ma uezle chemin. | per kmeten| dir

: . Vous nous montrez au loin, terme de la carrière, "1 , rai à tune, Per Le C Le bienheureur dsile üux poties de lumiere. «petit Carnet de cinq SOUS VOUS PTE | nivrés de joie et câlins ue ERA Re ee ete le po | : + _ Le à à Le .. tu Const. et à nimer mel 4 Ds vous nous conduisez, ed rcjelant fout choir. Elus tant. D rouen à cite Parmi 15 tapes Lt Pofitness: à mois james je d'ail rébetl à de) ; À Vous nous dites: “Venez, mais accéptez la croix." | |\}-4e se mieux connaïtre 1aimé-pe din ‘tuto DM Boch Eure 2 qe ect gr plaise que je votre

1/2 A! ; LUCIUS. Madame BON SENS. Meus di .mes petis nez 5 Jess s Sacré Coeur, au #P 0 S se" ME i ‘| " ET ER s pm «tt -. [et nus effrayons bien des nids cles” Meg gr se Eur ges.

} : e avaient des den Mer: Le Béniles Ni” ns : RE - ——— or à à - v. Nous 108 petits Iagine, lächaient pas leur dirai pie à C N tent de l'argent que leur pèrg 2 ragn UT Folielichs ef satiné. : du u pius long. :s \ 0 AISSEZ avec peine Vois ton papñ, €omme il Crêpes aux pommes de terre 3 ; | anges Ps pprit Chère. MèreGrand, 28. | , LE, : travaille, lui_ Est-ce que ce n'est Das! prenez deux oeufs, douse grosses | Nous savons plus de vifigt sentiers

VOTRE:ENFANT triste mes de ferre, râpéer. une tasse et | Dégringolant vers les ravincs; maison

Oui, répond le petit bonhomme; | mais pourquoi l'as pas fait un Grec? Qu'en conclure? Que <e gamin si logique n'aüra yraisemblablement k- mais d'âptitudes pour la politique. Il est probable qu'en reranchz 508 frère en aura. ;

demie de farine, une demitasse de lait doëx, the cuillerée à table de seLi

“Quand je veux me débarrasser quelqu'un, disait un père de famille, je n'ai qu'à lui parier de mes enfapts… , A propos, il faut que je vous rapporte

dernièr mot de mon ainé”

Ne prenez pas la fuite si je vous cite _ des réflexions d'enfant. D'abord, elles sônt amusantes, puisqu'elles sont. de : mes enfants; ensuité, nous essaierons de Grer:parti des mots des vôtres, qui} Si tu n'as pas faim pour ta soupe, sal sûrement aussi amusants, Est:11,|tu »'as pas faim pour ton dessert. du reste, rien de plus intéressant que L'entänt, ayant rapidement avalé sa ces cris du coeur que les petits Iais- | touillie d'avoine, assure: ; sent échapper sans les: contrôler ai Je trouverai bien un petit coix PV l'aide de la réfexion, ni 16 farder par [Pour Mon dessert. , | calcul?. L'enfant se fait voir à nu Ce .séra par surcroît un jeune hom- , me réfléchi, un ‘“roseanu pensant”.

; Li 14 Le til, passo-fhoi donc mon dessert site beurre, arec du poitfe tel Ds

is. Tartelettes d’ farcis , . Quatre cenis, 2 tranches de jambon d'York, huit crogéons de pain de mie, un morceau de beurre, deux cuillerées À soupe de laïf, chapelure, sel, poivre, muscade. P Puites bouillir dans une casserole isse de l'eau salée, Piongez-7-les

Nous jouons au clair de la lune Et nous revenons au fi - Quard sur nous descend nuit brune. pape Frère M8. 22009

Un conte par semaine

4% père, mom

Aux yebx exercés il montre souvent à ce qu'il sera plus

‘Tu sais, dit l'autre matin à son fils âgé de six ans, tu sais, , lo Grec. r6e X?

Oui. Il a beaucoup d'argent, le Grec de

UE

LR à

térd, oùcé qu'it-ne | Comme ses parents parlent dune £3o-

cufs et faitesles cuire pendapt dixqai- L'HGREE" + e.ai-drei pate aient. MR nÿ Rs Rafraïchisseztes ét écaleades était pas, il réfléchit le nez au pla- fond puis, ne trouvant pas, il deman- | de: à

blanes. Hachez le jambon, assaison: nez de sel, de poivre et muscade, et ajoutez les jaunes d'oeufs écrasés et le lait Fareissez les blancs d'otufs

que j'étais quand } 7 étais pas? Allez donc répondre à c='2 Ce serait aussi facile que de reu-cigner la p=

L'AGNEAU "DE JEANNE

Légeide terrine) C'était un simple agneiet, tout blanc, tout mignon, tout frisé, que l'on appelait Blanchet

les pas de la vierge guerrière? H.-A. DOURLIAC-

= latnp X, N en à pe sr at avec cette préparation et saupoudrez grosse comme ça, pleine, Ÿ A 4 Son père crut opportun de lui faire quait son chant quatre heures par jour. | il arret Dress les oeufs sur De leçon: et qui s'informait suvrès d'un vieux pans rene ppt np <Ranset | $ R ans un plat, ajoutez un petit morçean & L'Out. aitn, le Gree à beaucoup | monfleur très savant: vit | L ; Ci à î d de beurre sur chaque oeuf et passez 28 # d'argent, et Ni ne travaille pas fort. Ro RME, qui UE |'AStu remarqué? 11 se tient tranquille- | 2x Petits oiseaux à chanter? - ment derrière sou comptoir et 41 don-| À qui veut pénétrer la mentaliié de 2 era chat

5 ne des fruits, des e ts à des pe- sa génération, seruter l'esprit de le

tite fille, dont la grande soeur prati- et qui tétait encoré sa mère : 2: | Ne éloigne pas du trou- pe tu serais mangé par le} up! \ Et, docile, il marchaît sur es!

tait parfois de filer pour cares- sér sa . Il la suivait par-

à tits garcons comme toi hui lui appbr- suivante, un enfant est parfois un pré À.

: : Soir cieux aüxiliaire L'autre jour jappré peu pour prier, il l'écoutait con- CR | (ais un perdreau. Les enfants fai verser avec les Saintes et l'Ar-

® = saiént cercle autour de moi Ah d'évi A change." qui la pressaient de

L er une catastrophe imminente, je délivrer le royaume

m'eflorcai de retenir leur attention e2 | Treizième dimanche après 14 | d'un loup’ très méchant qu'on leur donnant ve à ds een à cr “Pentecôte RE it FAnglais. |

mes)

Vous voyéz éeci, c'est le coeur | Et quand élle s'en revenail d'où le sang part pouriigeienir is (S. Lac. XVIL 1119) pensive, Blanchet, trottinant à En ce tenapsià Jésus fréverssit lafcôté d'elle, bélait touf düuux, tout doux, comme sa Iaman- brebis quand elle voulait le re-

vie dans toutes les parties «

C'est méchant, déclare une petite, | Samarie et ia Galilée pour se rendre

de tuer ces beaux oiseaux-là à Jérusalem. Comme à entra dans : Mais non, Dieu a créé les anÏmaux | un village, il rencontta dix lépreux qui tenir; et H semblait dire-

pour que l'homme s'en nourriss=. s'arrétérent loin ée ul; et s'écrièreat: Ne l'éloigne pas du tron-

| Oui, reprend la petite avec une | Jésus, #otre maïtré ayez pitié de nous} peau, {u serais mangée par le

mou, l'homme! _. l'homme! toujours } Dès qu'il les aperçut, fl leur dit: Alez,

l'homme! (C'est comme dans caté | montrezvous aux prêtres, Et pen-

chisme: L'hôimme à été créé à l'imase | Gant qu'ils y allaient, HS se trouvèrent

de Dieu; l'homme est composé d'un feuéris L'un d'eux, aussitôt qu'il se

[corps et d'une âme Toujours lhom vit guéri, retourna sur ses pas en glo-

me! La femme, les enfants, jamais rifiant Dieu à haute voix, ei, se pros

on n'en parie! Pourtant! ternant le visase oopire lerre, Aux

Mais jes mots lui manquent pour ex- ! pieds de Jésus, il lui rendit grâces

Or c'était un ,Samerftain Jésus lui

' ' dit alors: Les dix n'ont-ils pas tous été p

guéris? sont done les neùf auiré? | dois! .-

Il n'y a que cet étranger qui soit reve

pu pour rendre gloire à Dies Et casque

s'adrefsant au Samaritain: Levez-voes1en lête, épée au côté. Elle di-

, lai it-1: allez, votre foi vous a sauve. |sail adieu en pleurant à sôn

+ —— Dh 0 —— père, à sa mért, à son lroë-

Les boutons et l'eczéma

disparaissent, la peau de-

vient douce et lisse par l'emploi de

[L'ONGUENT du Dr CHASE

te. Fallait-il écouter Monsieur saint Michel on Fagnelet? Une première fois, le sire de Baudricourt, consulté, la ren- voya à ses moutons, qui furent bien contents, l'agnelet surtout ! Mais une seconde fois il lui dit:

Et un triste jour, Blanchet ln vit toute prête à partir,

four pendant quelques mimnies pouf | {ions de + bergère, qui s’arré-|

loup! Et Jeanne soupirait, hésitan-

COURRIER DE MERE GRAND

«

Ancienne amie du “Patriote” J'ai eu le plaisir de faire lire votre charmante: lettre à ‘la grande amie d'autrefois. Votre! - souvenir l'a profondément tou: chée et elle fait des voeux pour votre bonheur. La pensée de

d'affection réciproque, lui est toujours bien réconfortanie et

ien douce. Puissenit les jeunes lecieurs de la Liberté profiter de votre bon exemple et de vos bons conseils.

Médéric Major, Saint-Léori Votre lettre m'a fait plaisir. Vous aimez la musique; je vous en félicite et vous souhaite d’é- tre constant à la bien pratiquer: Hi n'y a rien comme de la bonne

ique élever et réndre meilleur. Au revoir affectueux.

Dina Nivon, Saint-Léon Merci de votre très intéressante

La demande de

peau. :

Et comme le pauvre agnelet bélait lamevtablement, elle le haisa entre les cornes naissan-

Samedi 21 Sie Jeanne de Dimanche 11

pantar Fiés en ajoutänf pour le conse-

_— Treisième après

‘| Pentecôte : s'élles L - j à > Fa sent pOoUSsSECS -

Lundi 2: S Philippe Béniti: que pe > à

Mardi #1 S Perthéiéai Or. wi, voulait la sui-

Mercredi 25 =--S- Lourd le. el sans écouter le chien ni

la ma il se mit à

- ; è troitiner derrière le grand che- RE —— val de batailic. Mais il n'avait Employez, Millers Worm Powders et la bataille contre ltormha d'épuisement avant de les vers est gagnée. : Ces pou-|quilter Domremy. dres corrigent les conditions! Le frère de Jeanne, chargé de malades de l'estomac qui nour- |la émghacer. le retrouva dans rissefit les vers et ce parasites fun fussé et le rapporta au ber- destructeurs ne peuvent exister !caïil. EI sa: maman-brebis le après être venus cn contact avec! gronda un peu, pas trop, parte la médecine. Les vers sont ra-Iqu'elle voyait, bien qu'il avait pidement expulsés des intestins [un gros chagrin. . Et maigré son avec les autres déchets. Les or-!Don lait, ses soins, ses caresses,

Va, Jeanne! Fais ce que Lourdes C'esi avec

is J'espère bien revenir avast donne des leçons, que j'admire dévouement. i pas les jimbes assez longues et};

1 NE Eee PR bre te

s si vous m'écriviez encore. Simone Aubin, Laurier

êtes constante à m'écrire! Je vous en suis reconnaissante et

leors lorsqu'un lagement 51 certain est à leur’ dispasiti avec Cors A €. * r Dr r ÿ j EN i LES Ve becs L \ 44 L

gs fines rc Le

vil STet ! semble EEE que l'optimisme, résujtant de la bonne de dire que les vaches, ça paye pas. | récolte de l'an dernier, se continue 1 de garder | dans l'Ouest. J'ai constaté que les affaires y sont bonnes, le peuple gak

l'air pendant dix à quige jours;

les villes”, déclare M. W.-J. Black, df qu'ils n'en aient aucune. LÆs!récteur du service de la colonisation, vaches, ça payé pas! ; immigration, etc., au Chemin de fer * Les derniers disent que les vaches, | Natiénaï du Canada, qui arrive des pro- ta paybl Et ils ont raison, car ceux-là | vinces de l'Ouest il est allé en ont toujours de bonnés vaches. .Les | tournée d'inspection.

bonnes vaches, ça paye! 1 y'a deux! M. Black na constaté beaucoup de ‘|somaines, un fermier me disait que | signes encourageants dans l'Ouest, _en- cette année, avec ses ‘cinq vaclies, il | tre autres le fiümbre d'acres de terre faisait beaucoup plus d'argent qu'avec | mis en culture par les immigrants pla- ses sept vaches de l'an dernier, Les |cés par le service de colonisation du bonnes vaches, me disait-il, ça paye! | Canadien National, dans l'Alberta, nom- Un autre me disait qu'avec ses sept | bre plus grand qu'à toute autre époque vaches cette année {1 faisait plus d'ar: | depuis la guerre.

gent qu'avec ses reuf/vaches- de l'an| “De façoh générale, dit M. Black dernier, Les bonnes vaches, ajoutait-| j'ai trouvé l'Ouest foncièrement opti- fl, ça paye! Y miste; même ceux qui passaient pouf

endroit secet aéré: |

mure seulement pendant quinze jou Ce procédé de salage peut:être appli-

peu moins salée. !

post.

et les"traire, et c'est plus encoura- 4e. Lomiide atteltent aux

geant., Un hommé qui a de bonnes vaches les aime toujours. 1} aime à lès soigner et à les traire: sa femme elle-même est heureuse de s'en occu-

: peret i pro au ever S l'on PEËt tirer de la vente des oiseaux PE longue aux :vaches-vnc nc, en atttomne et quand on sait que les Îa 4 ME érat ju6 Had Li ne amélioref nos troupeaux de-va sujdis reproduéteurs péuvent ‘être con

? Servés ‘de six à dix’ ans, L ta- Due ppénnaont ur POT' | Les bonnes vaches, ça paye! :

tion des oies est t#ës simple "ét peu

À coûteuse, et les cabanes nécessaires

it EE TR Re-É er pour loger les oiseaux, adultes ou jeu:

"x pes emntrigcel faut men Essentiel pour les porcs nes, peuvent être d’une cofstruction va ch y très simple.

tr ‘once. -de. con met Un abri, un -Pâturage, de l'exercice Les choses essentielles à. l'élevage

Wide voids vit, Sy -ajéutant et de eau. sont des choses peu coû- [des oies sont le libre parconrs et l'a-

29 livres de lait #ro- teuses "et essentielles au développe: | bondance de verdure. Lesusujets re-

mnt c'est: leéhiore qui ment économique des porcelets. L'ex- producteurs et les oisillons qui ont

it: : sémentiel dans:le sel, et erdice est important et à ce sujet des! beaucoup d'herbe tendré ou-de trèfle

satiibrt de unet**Périencés ont 616 faites récemment | à Jeur disposiiton se passent fort bien

Mél per jour en égard lt 1 fêrme expérimentale du Kansas | de grain ou de pâtée et profitent très

et à sa production lactée. | Ur deux lots de pures. Un groupe de | bien. tuent d’un vigoureux couple collier,

; et laitiers prétè. PPT était obligé de. parcourir, une DFE E 48e HA MARETENRE A leurs côtés, le caï, surveillant ana-

an. pierre placé dans lea[ laine distance pour prendre sa! Le crédit: la province de| mite, marche, majestueux, stimulant

L'élevage des oies bien cohduit peut devenir une industrie très avantageuse sur la ferme. La mise de fonds exigés par'cette industrie est pèu chose quand on la compare aux bénéfices que

aines, jes..vaches - mon-

charrettes, transportant les marchan- lowoleht désir de sel, puis

dises. Chacune d'éllés tiré, qui, de l'épaule,

‘dre de quarânte”mètfesii © :} »

Elles, vont de leur allure paisibie, presque toutes icoiffées du:“caïnonne”, large chapeau de feuilles de lätanier, à la fois parapluie et-ombrelle. ;

Les mauvaises vaéties, ça paye pas!

soleil, l'agilité du coolie pousse-pousse qui passe, à moins qu'elle ne tourne en ridicule quelque. madame française perçue dans l'encadrement d'une. fe- nêtre; et, sa tirade finie, toutes ses compagnes, tel le choeur antique, lan- cent, sur un ton de mélopée traînarde un kéééé..0000 (tirez) qu'elles ponc-

: pr vach à \én té- nourriture et ses porcs ont fait de meil- bec son attelage, mais sans grande con- : Lipa Mel leurs gains, parce que Faure st} . Québer F: viction, comme gagné luimême par é net gianulé et l'ajoutent à | Mule l'appétit. Montréal Jamais le crédit de la |l'engourdissante langueur que l'on

; Les pâturages de toutes sortes sont ! es dans

- De promet re + eu ki À avantagèux. ]Jl est payant de mettre ds pou: les porcs au pâturage dès que laitem dés dont péräture ent assez réchhuffée. S11

à ; veur g'eu Ja prévoyance d'encemoncer le pâturage en irèfle J'année précé: denté,, les porcelets , se trouveront | our, og milieu idéal pour se' dévelop- AREA IPEE VUP LE TT

miquement. Si la chose n'a : A . &" prévus, n'importe quel mélan. | L'industrie aux Etats-Unis ndt RS root du M roberté

. et ES chaux, des genres de bois, du ! Hudd, couppissaire du commerce du

province de Québec n'a été aussi élevé | éProuve à contempler ce troupeau d'é- sur-les marchés monétaires de-Lon-}tres humains traînant avec peine, la dres, selon une déclaration du Dr L.-J: | Masse de plusieurs. milliers de kilos, Lemieux, âgent général de 1a province | 4lors que de thermomètre marque 360 de Québec en Angleterre, qui est ac-| à l'ombre!

tuellement au pays pour un bref sé- P

Avoine 2 CW_ 48 :47 .47 :471 .48 .47 LS re - Les fermiers qui vendent de Ia crème devraient expédier ge. Ar . Fat 10 .G1È 62 :62k . .62 ; ta la n Be .1 2585" 115: 2,1 2.1: dorées 2 Seigle 2 CW._.. 1.00ÿ 97} 97 96} .96$ 08. ; tions : , Eu 2 nidtet LR Crescent Creamery Opten ge) PL] Blé Octobre 1.42} 1-39} 1.39} 1.394 1 1.38 s Vendre sa crèmé au hasard peut être in t pour un temps, Décembre RARE De": +.38 1.3 1,37 1,3 1.36 k mais cela ne paie. pas. Le fermier qui ‘le meilleur Mar” Sun de ? 1 Fe EU - Magda Ar | 1.42 1:43} 1.41 et le es constañnment est celui qui. fait le plus d'argent à la RENTE ; : bd

; née a. y à

vient de faire cons- cchanteur des u figan-, pole C: der Le LISE f Lie vpreasbat h eve

an *

Len $

es

les laisse s'égoutter et $e reasuyer ‘À

ux pe: prisé Piano dagu dv med gere sd et confiant, la construction active dans fines, mogillées Lee On les laisse sécher de :.on les em balle, au milieu de graines de foin, dans

tie considérable de leurs anciennes det- | Couronné holiandaise 4036 402 une toile, et des dans un

tes depuis la création de la Coopéra- D

On obtient ainsi ae jambons à la chair rosée, tendre, d'un goût parfait et de très bonne conservation; cepen- dant, les meilleurs résultats sont obte- nus avec de petits jambons de kilo: grammies environ, qu'on ne s&le À sec qu'une fois et qu'on laisse dans la sau:

été placé dans une position plus favo-

rable visà-vis des compabtiies de ‘iM 17 AOÛT 1926 prêts. : ; 4 -Souviitons= |

L1#Lés Compagnies de machines agrk | Excellents voles favorisent le mouvement de If} Bons ................... .95.75—$6.25! Coopératite, Les paiements de la Coo: | Moyens ...........:....., $6.00—$5.50 pérative sont faîts à une saison dé} Ordinaires .:...,..... ee 25—$4.76 l'année qui permet aux fermiers d'ache- ter des mâchines plus ou moins au comptant, plutôt qu'avec un ærédit à long terme, comme c'était l'nsage de- puis un bon nombre d'années. . |. Y92N08 de Boucheries À

qué à toute autre viande; toutefois, la viande de boeuf demande à être un

tème de vente par la Coopérätive à éu Us pour rhealtat de mettre Von BB | anne 1200 ETES GES une base plus solidé, le paiement ini: ÉNTIEN

tial et les paiements intérimäires du:| Taureaux— FR ant l’année ayant donné aux fermiéré | De choix :............,... $3.00—$3.50

0-0 "Cinq bonnes vaches dissot plus de | pessimistes ont- changé d'opinfon et re ES lait que sept mauvaises vaches; et, si| gardent l'avenir avec confiance”. Les femmes au Tonkin je ne me trompe, cinq vaches mangent | . 2242 —— Au Tolits DU 22 , n, les: Annamites ont le molns:que sept vaches; 11 faut moins! : : des oies 1 ; | #4 Ml dont di els 1 Rides L'élevage des monopole presque exclusif du trans

pousses et les .fenfhies aux” fourdés

qui du bras, une corde amarrée à un câ-’

hle, dont la longueur n'est pas «moin- comme de faire des prix plus bas pour

‘l'entier'en compétition dv8t 1eÿ grandes |: PPuvilIons à engraisser MI No Diese ac rueefi8.00. maïfson$-de commandes par la posfé.

L'une d'elles éhânte la chaleur. du

C-R-E-M-E

Des milliers d'expéditeurs de crème au Manitoba et -dans la Saskat- $ 14 chewan ont appris par expérience que ls “Crescent” est le meilleur Marché et sont restés avec elle. is + ont ESS SPORE

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pie No À Mont. 2. 1.544 1:51 .S18, 1. 1.514 15 1.52% 1.51 Londres Lord Clarendon a fait 2 Nord. : 1,504 L LA & + ! 12 1.47h. son premier rapport au secrétaire 3 Nord... rule 2: - 1.374 d'Etat pôür les affaires des Dominions, | —— ei hs BL 11 se déclare satisfait. des progrès ae- Avo ne 2 CW.7 + à 48 .48 .:49 .48 complis par les colons britanniques en 3 CW CR LA ee .- ? LE Ontario et dans le sud du Manitoba et | —— de l'Alberta. 11 loue hautement l'efn- | Orge Lo ON UE cacité des services rendus par le mt |". #"CW 7. 507 59 te ct nistère de l'immigration et le bureau | —— RES ES d'établissement des soïdats, : . * [Lin TN "2118 2.10} 2.14 2.54 Lie 243 1 13 ; CAN. 2:07%:2.06k 2,094 2.10 PE D Se gle 2 CW....,.. 1.00f 971 96 961 08 867 Prix sut voie (track) 8 C Ps,

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Notre pique-nique annuel eut ileu di- manche dernier à Crystal Lake avec

un grand succès, Tous les paroissiens

de Canors, Stenen, Buchanan, Sturgis ei Kamsack y étaient présents.

+. + = M. et Mme Albert Bouvier ont reçu

la visite, la semaine dernière, de leurs

“* pareñts de/Saint Lazare, Mme Pierre

Huberdeau, M. et Mme Louis Guay et Mme Origène Cadieux.

Mme Thérrien, de Kamsack, est en visite chiez Mme F-P. Germain.

; . . ‘2° La récolte s'annonce très belle; les

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moissons commencent ces. joursei.

MORINVILLE

Le"äimänehe ler août se réunissäit la famille de M. et Mme John Trottier, de la province de Québec, ancien mar- chand de cette. ville, pour célébrer le cinquantième anniversaire de leur ma fiage. Tous les enfants et petits-en fants, ainsi que des amis, étaient réu- nis pour présenter Jeurs hommages aux heureux jubillaires. Une élogieuse adresse fui présentée par l'aînée de la farhille Mme Arthur Loiseau, et un mâgnifique bouquet de roses par Mile lice Trottier, leur petite-fille, une mi- fnonne de quâtre ans, ainsi que plu sieurs cadeaux offerts par la famille et les amis.

Ensuite |! y eut un superbe banquet ‘durant lequel la santé des jubilaires fut proposée par MM. Arthur Loiseau, Charles Trottier et Alphonse Trottier, auxquels répondit M. John Trottier, le jubilaire, avec un chaleureux accent Me tendresse epde recoñnai:sance pour la réception si afectucuse de ses en- - fants.

Le reste de la journée se passa en réjoulssances lechant et la musique

,œurent le principal rôle, et l'on se

sépara lard dans la soirée en empor tant le mellleur souvenir de cette fête.

Chasse l asthme romme par}.

ænchantement Le soulage- ment immédiat procuré par le remède de l'asthme du Dr Kel- logg est comme magique. Ce- pendant ce n'est qu'un remède naturel employé d’une façon naturelle. fumée ou la va- peur, en alteignant le passage le plus reculé

ï F

a

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F 3

Fernande ont été M. et Mme Leslie

Hughes, représentés par M. et Mme|dite par le R. P. Gauvin, SJ

le 24 août 1592 Sa mère et trois

cérémonie funèbre.

La Liberté offre ses respectueuses || sympathies aux familles Champagne |

et Sabourin. , mr 2— GRAND BEACH

Le dimanche 8 août, la messe a été un y

Joseph Barrette: et ceux de Rolähde, | avait 150 personnes présentes.

M. Koland Hébert et Mile Bernadette Perron., Félicitations aux heureux pa- rents et longue vie aux jeunes jumet

2

Moisson

Les-travaux de la moisson avancent a été dite par le R_. P. Gañvin, SJ.

.

La partie de whist

O'Neil, lc 28 juillet, a ét£ un grand

succès Les recettes furent de $1125. LA 2 |

Dimanche dernier, 15 août, a messe n

rapidement. Nous avons eu un temp: y avait 93 personnes présentes.

favorable toute la semaine. Le grain Quelques-uns ont com-

ee

STE-ANNE DES

Le 10 août avait lieu le pèlerinase

Mlle Claire Gauthier, Désthter. de Saint-Boni-| de Saïnt-Boniface. Le train entrait face. est retournée çhez ses parents |en gare vers 10 heure* Déjà une après avoir passé quelques jours en] trentaine d'autos étaient rangées près promenade chez son amie, Mile An-|de l'église Ey tout environ 600 pèle-

toinette Bouvier, de Saint-Laurent. —— 220 2

MeOREARY |

ñ vid CE EE

rins visitaient le sanctuaire de. Saïnie- Anne ce jour-là

Saiat-Boniface, marchaït à la tête des

La semaine dernière nous avions le} pèlerins. 11 chanta lui-même la grand” plaisir de voir au milieu de nous notre messe, assisijé de MM les abbés JC ancien. curé, M. l'abbé Alexandre Des-| Saint-Amant et E Kwakman, comme

_|chambault, accompagné de sa mère. |diacre et sousdizcre d'honneur, et ‘de

et M. et Mme Dupont, de Saint-Lazare | MM les abbfs A Boulet et Levesque, Ils'ont visité en même temps leurs} tomme diacre et sousdiacre d'office.

amis de SaintéRose, de Makinak et} Mgr W-L, Jubinville remplissait l'éf- Espérons qu'ils nous re-| fice de prêtre-assistant M_ l'abbé À

de Laurier.

viendront encore et plus souvent. LA | e

Cette semaine c'était M. le curé Bas-| us chantaient tien, de Saint-Eustache, accompagné musique. Mme Dugal touchait les or-

de M. le curé Leroux, de Fisher Branch, qui nous visitailent Eux aussi ont visité Sainte-Rose, Laurier, Toutes-Ai- des, Ashern Point, Guyneme- et Sainte- Amélie MM. Iles curés de Laurier et

de MeCreary les accompagnaient à SJ. du Collège de Saint-Boniface, don-

Toutes-Aides, et M. le curé de Sainte-

Rose les accompagnaient à Guynemer. rinage. -

Ils ont paru enchantés de leur voyage et ont aussi admiré la beauté de plu- sieurs de nos grandes et bonnes routes du nord, en particulier celle de Toutes- Aides.

Notre regretté Père Lecoq. qui vient de quitter ce monde, ne s'y reconnal- trait plus, lui qui a parcouru ces vas- tés contrées plutôt en canct qu'en voi- ture. Maintenant, à part de rares ex- ceptidns, les autos, même les plus gros ses, se promènent en sûreté.

LL L_ 2 L 1 Nous avons aussi constaté qu'à Tou-

Brunet était maître de cérémonies. Au jubé les dames de Saïnt-Boniface une belle messe en

Après la grand'messe les dames de la paroisse servaient le diaer aux pèle- ring au pavillon de l'église.

A deux heures le R P. À. Bernier, nait aux pèlerins le sermon du pèle- I1 proposa la bonne sainte Anne comme modèle des mères de fa- mille, rappelant aux mères chrétien- nes les graves obligations de leur. état

tionnels cantiques sainte Anne. Mgr W-L Jubinville pcrtait la relique de sainte Anne Il chanta je Salut du Saint-Sacrement. Et tous les pèlerins vénérèrent avec, dévotion la relique de la grande Thau maturge.

Daigne la bonne Sainte Anre bénir

res, parmi lesquels M l'abbé Sabot ||

S G. Mgr Béliveau était véhn avec}. plusieurs prêtres pour assister à la}

chez Mme E|

S. G. Mgr Béliveau, sdb : monsieur.

Puis la procession se déroula sur le; du comité d= terrain de l'église. au chant des tradi-} en l'honneur ae

Ÿ | # < Roberge. enré. Veur soubaitera la bien- venue et donnera ie Srmon. Après la grand'messe les Cheveliers pren- front le goûter au pavillor. de l'église, oû-les dames de la paroisse leur servi- ront le thé. Dans l'après midi il y aura discours, amusements, ec. Nos amis des paroisses voisines qui vou- dront venir faire un petit tour à Sainte- Aune, le dimanche! ?9 août, sont les bienvenus.

Elmwood, le 16 août 1926. A M. le directeur de la Liberté, Winnipeg. .

D'après le “Masse Pres Véés” de samedi dernier, M TB.-Molloy accuse les partisans du Dr J-P/ Howden d'avoir “bourr£” la convention libé- rale du comté de Saint-Boniface, tente à ltcole King George, Norwood, le samedi 7 août. L

ML Molloy affirme que la division de Saint-Boniface-Nord .ju avait plus que sa proportion de délégués; que plu- sieurs peréonnes. non accréditées, ont été, sur ylace, munies de lettres de créance, à cause de leur opposition présumée à sa candidature, tandis que ces mêmes lettres de créance étaient refusées à ses partisans déclarés.

Comme président de cette conven- tion, je tiens à déclarer catégorique- ment que, de ma vie, je n'ai assisté à une convention tenue d'une façon plus équitable ni plus régulière Je dois ajouter que je;.me suis-formellement opposé, à ce que, à titre de président, je choisisse moi-même les membres créance, cär je voulais laisser ce choix aux délégués. Sur résolution dûment adoptée, ce comité fut donc composé coffime suit: un re- présentant de chacune des divisions de Saint-Boniface, Eliwood, Norwood, Transcona, et un cinquième parmi les

délégués de la caiupä£ne. | Permettez-moi de disposer de l'ob

jéction de M Molloy au sujet de la

tes-Aides une fromagerie est en war | pieux pèlerins.” exaucer lears vVOEuUL, représentation de Saint-Boniface-Nord.

che depuis quelques années et contri- bue à la prospérité de la place. Si

les cultivateurs continuent à com- péèndre et à mettre en pratique la vraie culiure mixte, ils réussiront à se créer un bel avenir. L'élevage -de la

es tubes affectés. | vache à lait, pour faire le fromage, du

prôtéger leur famille et. Earder tou- jours profond dans nos coeurs la foi des aieux Départ Le R P. Edmond Dionne, notre vi- caire, nous a quittés lundi dernier. 1! est allé visiter ses parents et ses con-

débarrasse de l'obstruction el | mouton et du cochon dans des beaux | ‘"ères dans T'Est. HN repassers par ici

ouvré la voie à l'air frais.

11 | pâturages de trèfle d'odeur et de lu-1 72 commencement d'octobre, en route

est vendu par tous les :mar- | zerne, sans compter l'élevage, sur une | P°ur les missions étrangères Le 14

.chands du pays,

moyenne échelle, de la volaille, don- octobre il s'embarquera à Vancouver,

UN

en compasnie du Père Lavoie, CSSR, et du Frère Eloi, CSSR Tous trois se rendront À notre mission de Hué, dans l'indo-Chine, mission fondée l'an née dernière. Le Très Rév. Père Tho- mas Pintal CSSR, provincial, les accompagnera et désignera le site du premier monastère. 3 Naissances ,

Le S août Joseph-Jean-Léo, enfant de Joseph Millette et de Rosie Saint- Laurent, de Moose Jaw. Füfiain «t marraine: M. et Mme Jean Gauthier.

rain et marraine: Laurent-Auguste Tougas et Héloïse Baril

Monssesu_ Parrain et marraine: Lau- rèmt-Auguste Tougas et Héloïse Baril

_ é

2

Le 10 août Joseph Laurent-Augus- | :

Cette division avait droit à 57 délégués. Or, d'après les lettres de créance re- cueillies, 36 seulement votérent, tohs choisis par le comité local, L'accu- satjon de M. Molloy tombe donc à faux, puisqu'i ne pouvait être question d'octroyer des lettres de créance à d'autres que ceux que le comité local avait choisis, soit comme délégués ou substituts : é

Voici, par distritts; le nombre des délégués qui votèrent à cette couven- Î tion:

Délégués

éligibles Ont voté Elmwooë ........... 64 ‘38 Saint-Boniface-Nord . 57 36 us. à PPESÉ APE 36 32 Transcong ,........: 49 3 Campagne .......... 66 Exécutif .:... 50 1

"" GA PPEETES ?

siimpossibilité de contrôler absolu- ment léür éligibilité, à cause de la

choix de délégués, et dévait-il. par con- séquent, user d'une certaine dose d'in- dulgence, même pour ceux-là (vingt

4

! rio, ete,

Veuilléz agréer, monsieur le direc- teur, mes remerciements ainsi que mes meilleures salutations.

FC. HAMILTON,

Président de l'Association |

libérale du Manitoba.

TL bent —Nombreuses di ons

Granby, P. Q. Une foule considé: rable a assisté aux funérailles de M. Georges-H. Boivin, ancien ministre des douanes dans le cabinet King, qui est mort il y a quelques jours à Philadel phie des guites d'une opération. Les principaux corps pubifés étaient repré- sentés et des personnages importants de. toutes les classes de la société et de toutes les parties du pays étaient présents ainsi que de nombreuses délé- gations. Ê

C'est Mgr E--A. Deschamps, évêque auxiliaire du diocèse de Montréal, q a fait la levée du Corps.

Un train spécial de Montréal, com- prenant cinq wagons, a amené les per- sonnes de la métropole et des autres endroits qui ont tenu à assister aux funérailles. Toute la population de Granby et des localités environnantes était massée sur le parcours et tous les magasins étaient fermés.

Quatre cents membres du conseil des Chévaliers de Colomb, de Granby, ouvraient le cortège, suivis des déléga- tions tous les conseils de la pro- vince.

On remäarquaîit dans le cortège le LS présentant de M. Mackenzie King, M. W.-H. Measure, son secrétaire; un grand nombre de députés sortant de charge dont MM. J.-J. Guerin, 3.-W. Jacobs, Dr Hermas Deslauriers, Dr Arthur Denis, E. Saint-Père, Fernand Rinfret.

On remarquait aussi un grarid nom- ibre d'officiers supérieurs des Cheva- fiers de Colomb, dont M. Boivin était l'un des principaux chefs: MM. James A. Flaherty, chevalier suprême, de Phi. ladelphie; R-A. Jeffery, député d'Etat d'Ontario; L-E. Hart, avocat suprême, de Saint-Louis, Missouri: Dr - Claude Brown, ancien député d'Etat d'Onta

Torogio. Quatre semaines én,

aussi choisi des candidats.

Ayent le: fies-srit mad EE. :

putés, Ontario a plus de

Le nes à Mile RE

ces, soit 129 comparativément 4: 80

Nouveau-Brunswick, u sensé ses: A

servateurs, 10; libéraux, 9. Québec, 65 sièges; libéraux, 56; con servateurs, 22; indépendants, 2 Ontario, 82 sièges 64; libéraux, 437 vailfistes. 4; indépendant, 1. à Manitoba, 17 sièges: conservateurs,

; de Saint-Boniface per l'exécutif, le 6] 11; travaillistes, 2; libéral, 1. manche à 16 h, 2%, Le R P. À août, M Molloy,.qui était 1à, n'a rien} Sagkatchewan, 21 sièges; copserÿa-

w

progressistes, 18: tra.

Un conservateur et un libéral se dis- putent le siège du Yokon.

truira un grand hôtel : à Vancouver

Ottawa Les Chemins de fer Na- tionaux construiront un grand hôtel de 500 chambres à Vancouver, et le gou- vernement en a approuvé le contrat. : Le gouvernement annonce que ce contrat est la suite d'une entente faite par l'ancienne compagnie du Canadien-

Nord avec la ville de Vancouver. D'a-

‘près cette entente, le chemin de fer

était obligé de construire un hôtel à Vancouver, et, en plus, devait faire l'autres travaux de construction: qui entraînaient une RS d'au moins $8,000,000.

A ———— Trois éléphants en liberté » dans les bois de la Co:

lombie-Anglaise

Drests@k. CA: Trois diéphanti de cirque évadés sont en liberté dans les bois de da Colomble-Auglaise:

Les - s à cheval et les gardes forestiers qui fouillent les bois et les montagnes au sud-ouest de la ville, n'ont pas encore retrouvé la trâce des fugitifs. |

Les énoriies bêtes sont devenues féroces, en particulier depuis . deux jours. Les entraîneurs croient que les bêtes seitent qu'on les poursuit et crai- gnent qu’elles ne se tournent contre ceux qui les poursuivent,

Rhume

rablement diminuée. nous qu'un des éléphants a été pv a.

| Mme D. Mundny, de Vancouver.

Reconnues effacés par des: ill par les médecins Maux de tête

N'AFFECTENT PAS LE COEUR |

3 vu & : “MB AE Lans MAT Z2 Ni . 48304 :8

: tres

route d' East De pee hs la circulation sur cette route a consitiés ; e “ane .Aux dernipres nouvelles, nous-appreus

Vallée Torquin, Parc Nation per Le Club Alpin du Canada : ée: miné son camp annuel, lei. La plup des membres sont repartis im ment, mais céftain nombre. #88: La arrêtés à Jasper Pack Lodge » quelques jouré. : : Les dernièrés heures du cap PR été marquées par deux Se l'escalade de 1!

mières à accoiÿlir. cet exploit, ! Esther Thompson, . de W.

dernière fut'\à première femme à teindre le sommet du Mont

On a ME SLT jeudi, daus ne: Winnipeg, le corps d'Herbert Log pré;1 âgé de 22 ans, employé de le Re. toba Power Company’, à Great Fallé;s + qui s'était noyé le dimanche précédent. t: : Le canot dans lequel il se (ro avec trois compagnons, avait”

à Pine Falls, après avoir M + chutes. ! AE LA

Les funérailles ont eu liéu ‘carété Saint-Georges, demeurent ‘les: rents de la victime,

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AT Ju : vetilont #+

FREE NET ACIETT T0 iüw.

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doauvals. Ve aber qu

Pipes Votditaiss ét des grou-

F Tv pes de toutes les 'païties du district. © + ,1. Anglais et Mennénites sont nombreux.

© La popuiation de Saint- Jean-Baptiste et ftoupe nombreux de Letellier pré-

céption se compase de MM. Atmé Hoi : Méau ‘ét L-D. Missonnette, de Saint- ‘Jean-Baptiste, Wm Fraser et Peter dr de Leéteilier, DE À Lo at t l'arrivée du premier à Mmitistre, M. Wallace, d'Emerson, in- ; re t conservateur du comté A Free le Dr DH. McFadden, la parole. «Le Dr MéfFnadden est un pionnier du LU déclare que sa devise est: pires pour tous, 11 invite les élec- . …tétirs du cômté à la réflexion ét les encourags à " se de eur droit

LAS:

suffrage. n'4 Wallace sjénta ESS mots et | pr d'organisation:

« «…On. réclame M. Edmond Comauït; celui-ci cède: à la pression et parle ans les deux langues. Il soulage

..l'#tonnement ‘des auditeurs de le voir

PR sur une plate-forme conservatrice, en disant les principales raisons de son

; attitude nouvelle. Saint-Jean-Baptinte

à l'honneur de posséder pour quelques

heures le premier ministre du Canadä,

ot en une telle circAnstance la politi-

‘que doit prendre la seconde, place.

_Aélicite le nombreux auditoire. Ses pa- UE sont applaudies, . LE. Code, de Murris, dit quelques weots pensant les quefques imetants qui précèdent l'arrivée du premier minis fré.'mais cède bientôt la parole à M. J:-T. Haïig, qui éxylique le retard de M. Meighen et dit: Nous sommes tons “ün fäveuf de bomes routes partout üd Manitoba. ‘M. LD, Bissonnette se dit fier de présider cette belle assemblée. M. Meighen fait fon entrée; ji] est acclamé par la foule, mais surtout par 5 *'#ef partisans. M. Edmond Comeault le À l'auditoire en franéais et dit qué M. Meighen se fera un plaisir ALL Parler aussi dans notre langue. L'auditoire est très attentif et M.

”"Meighen commence: “M. le président, Messieurs les meoupren du clergé, mer dames, messieurs...

* HN surprend tout le monde par la

facilité avec laquelle il s'exprime en çais, malgré le peu de témps qu'il udjé cette langue. Si ce n'était

2% tournure anglaise de sa voix, qui ri ren la prononciation de certains moté français difficile, ce serait. très

| bien; car les mots se stiveft avec { rapidité et les plirâses sont bien tour- nées. M. Meigheu continhe eu anglais, et LS ns paint prinetsens de mm pois traite des points principaux de sa poli tique. we chemins de fer nationaux, le tarif, la question constitutionnelle, lenquète des doutes sont présen baie lon jour conservateur, j| va sans mais la parole sette, la chaleur ‘+ yéxidiscours, la clarté des arguments, | DE ont: à rendre la barsngue |" + -enegns d'écouter, ] est minuit quand

2”

D à IL snlevent en craie folies.

est appréciable, Te avec

.SAint-Jean-Baptiste empressement et sent 2e à Le bon or-

dre à été retarquab FE me tu rx

1 de bou ton, ©

recevoir chez jui l'hon premier mi. nistre, qui loue FRS canadien

ae franc aise,

vér; Ni vient de Manitou en antomôbile |

pecle l'opinion de ceux qui donnèrent leur vole à son adversaire; mais cette année les choses ont changé et il comb- te sur un support plus unanime de la population de Letellier.

1} taconte le travail que le parti Hbé-

"[rat-était à accomplir à Ottawa: pen:

sion des vieillards, chemin de fer de la Baie d'Hsdsôn, crédits ruraux, res- sources naturelles de l'Alberta, aide aux colons canadiens et étrangers, diminu- tion des impôts; toutes des mesures

teurs ont combattu fortement, et qui w'ont pu être conduites À honne fin, à cause l'usurpatiôn da yputoir par M. Méighen, qui a créé de ce fait une question constitutionnelle si importan- te que ie monde éntier a les yetit sur le Canada dans l'élettion présente, et les autres dominions de l'Empire bri- tannique sont anxteux de voir le peu- ple canadien prendre une attitude te!le que l'avenir ne vertx pas cet état de choss se répéter.

Partant de l'enquête dés douanes, il mentionne avec révérence le nom de

äccablé d'aceusations Injustes par ses ddversaires, qui veulent rénûte tes- ponsabie de l'administration de ce dé- partoement depuis de DEN an- nées.

M. Beaubien pritinn en faisant un vibrant appel en faveur du parti 1Ibé- ral, qüûi à une politique spécintement adaptée aux béfoins de l'Ouest, et qui de plus. nous donne l'assurance que sous sôn règne l'aufünomie du pays sera respectée. M. Beaubien à parlé on anglais ét on français.

M. Camille Fournier, de Saint-Boni- face, adresse aussi la parole et parle avec éloquence et verve de-l'enquête des douanes et de la question constitu- tionnelle.

NH reprérente l'hôn. Arthur Meighen venant se courber devant lés Cana- diens français, à qui &l réprochié leur indifférence à son égard. . H dit pour- tant n'avoir janrais rien fait pour nous déplaire; il parle même français pour noùs-attendrir! ;

Ni dit que la différence entre les Ca- nadienzs français et M. Meighen, c'est que nous nous souvenous, tandis que lui, il oublie.

M. Fourier invite ses éditeurs à accofer leur support à M. Beaubien, qui depuis qu'il est. à Ottawa, a usé d'un bon jugetiènt, et -a supporté les

projets de lois que lès libéraux ont présentés et présenteront pour établir use prospérité durable au pays, ce qui est déjà commencé, €ur depuis 1921 no- ire situation économique s'éét beau- Coup sméliorée et nôts soîimes bien cônsidérés à l'extérieur. L'argent ca- nadien, au lieu d'être à une basse va- lèur éomme sous le régime Meighen. a atteint une prime chez nos voisins américains. :

M. Narcisse Breton, préfet de la mu- micipalité de Montcalm, présidait l'as- semblée, assez nombreuse, considérant la saison des travaux, et il:invita qui- tonque désirait venir parler en faveur du candidat conservateur à le faire, mais personne ne s'offrit.

1 L} L2

La pluie récente a été bienfaisante pour lés jardins, Maïs elle « interrom- pu les coupages qui avançaient rapide- ment.

.

Le premier graïn ds ]a saison a été “pporté à l'élérateur le 10 août, de l'orge, no 3; le rendement, 80 minots de, lacre.

M. Norbert Jatrés et sa famille sont de passage à my Te pours-ci.

Nu es es Lis à

favorables à l'Ouest que les eonserva- |

l'hon. G-H. Boïvin, mort à la tâche,

d jours montré ane prédilection pour le

| M. Hélie a fait chez nous de ia bonne:

Le Kiwanis de Sänt-Bonitace Aura, encore cette année, sa foürnée de fête organisée au profit de lhôplial

+ aura de l'emploi pour un certain nembre d'hommes, et nous serons heu- reux ‘d'accueillir Jes moissonneurs du Québec. F

+.

LR L'élévatèur des Fermiers-Unis est presque terminé et sera prête à rece voir le gran à la fin de semaine. + . +. M. dt Mme John Pressing sont re-

venus vendredi de leur voyage de no-

pose également (énir un éonéotrs

Îcet éttet' entre 1es grands amateurs et les officiers du club à l’hôtél de ville Cette Tôte atüra lou les 24 et 25 sapiens

ces à Chicago et Gary, Indiana.‘ | » M ni Ur " +, se Décès Mme Odflon Bois @st aussi de tetour atomes. .

Le 18 août est décédée à Saint-Boni- face Mme veuÿe eline Lafrance, pée Saucier. Lafrähce était. avantageusemént cn à Saint-Boni- face et an Manitoba; clle appartenait à une de pos meilioures et plus.ancien- nes familles. | Mme Lafrance laisse deux enfants: Blanche, mariée à ' Antoine Tessier, defPonteix, Sask., Berthe, demeurant À Se Un satre Ms, Edmond, ‘est mort 11 y a quelques années., Elle laisse aussi plusieurs frères: M. l'abbé Elie Rocan,

d'une proménade aux mêmes endroits. *-…. & :

Mlle Cécile Rioux, de Transcona, était en visite la #emaine dernière chez son amie ges Cécile Graveline.

L] LE

Mme Antôise”? Lafrenière et ses en- fants sont en pronicnade chez leur* card 0 M er à Noirë- pen ets de Lourdes.

SAINT-BO BONIFACE

Etes-vous enregistré?

Si vous ne Yous êlés pas fait enre- gistrer au cours de la semaine derniè- re, vous dvezs une Chance de le faire éncore, Du 24 au 30 ‘inclusivement, fa cour. siégéra pour la revision de la liste électorale à l'hôtel de ville de Saint-Bonfface. Les électours et élec- trices qui ne figurent pas sur celte liste pourront y faire mettre leurs noms. Ne fanqtez pas d'accomplir ce devoir de citoyen, pour être on me-

R. P. AIMÉ BERTRAND, 5.4, de Saint-Boniface, qui a été ordonné prêtre dimanche dernier à Montréal

A la cathédrale

Encore cette -atinée le pèlerinage à Sainte-Anne des Chènes a été religieu- sement suivi par une grañde foule paroïssiens. Le train spécial qui con- duisait à la grande patronne tous les dévôts pèlerins a quitté Saint-Boniface le 10 au matin'et est arrivé à Sainte- Anne vers les 9 h. et demie. S. G. Mer l'Archevèque à thanté la messe et le sermon à été donné pur le R. P. Ber- nier, S.J. Danÿ' l'après-midi, il y a eu les exercicés aècoutumés, et Mgr Ju- binville, curé d&la Cathédrale, a chan- le Salut dw'Salint-Sacrement.

M. Saucier, de Calgary, et une soeur, Mme MacMillan, de Kamloops.

Le service, qui eut lieu mardi à la cathédrale, fut chanté par M. l'abbé Élie Rocan, de Sainte-Agathe, accom- pagné de ‘M. l'abbé Bastien, curé de Saint-Eustache, et’de M. l'ab net, vicaire de la cathédral

La mort de Mme Lafrarce à suscité de profohdes sympa dans la po- pulation de Saint-Bôniface. Une foule nombreuse assifta au service et es:

Mort du Rév. Frèra Théo- dore de Bijl, OM,

sure de voter le 14 septembre. corta la dépouille mortelle, précédée ——— M ———— L « dés Damés de Sainte-Anne, La congrégation des Oblats vient de s'o'.e Quatre candidats à Saint- faire une grande pérte dans la person- 16 août également eut lieu à ta Boniface? ne du Frère Théodore de Bijl, mort Æathédrale le service de Mine Annie

Lagñcé, épouse d'Émery Laëéaille, dé- cédée Je 13 de ce mois, à l'age, de 42 ans, ét celui de M, Adélard Bouchard’ époux d'Ælisabeth Lépirre, décédé le 11 du mois à l'âge de 31 ans. :

Un grand nombre de. connaîSsances ét d'amis ont témoigné leur séencierte à ces familles éprouvées,

og PETITES NOTES

subitement à l'hôpital de Saint-Bonis

face, dimanche après-midi. 1LAppar- tenait à cette paalange dévouée de frè- res convers qui, sous 1 irection des

RR., PP. Oblats, ont réndu de si émi- nents services à d'église catholique de l'Ouest canadien.

Doué d'un beau talent d'architecture, le Frère de Bijl a fait les’ plans d'un grand nombre-d'églises, de chapelles et de résidences de missionnaires, entre

La nomination du candidat conser- vateur pour la circonscription de Saint- Boniface a eu lieu hier soir, mardi, après le tirage de notre journal, ce qui ne-nous Asie de donner son nom

Les travaillistes ont annoncé leur intention de placér un candidat sur les rangs et celui-ci doit être nommé jeudi à Transcona.

D'autre part, T-B. Molloy a fait connaître sa décision de se présenter

autre£: Le Pas, Saint-Laurent, Cam/} M. l'abbé Jacques Berifand êt $a comme candidat libéral indépendant. oérville, Man; International Falls, | mère, Mme Théo. Bertrand, sont pat-|. Avec le Dr Howden, candidat libé-{ Minnx . Lebret, Holdfast,. Marcelin, | tis pour Montréal afin d'assister à l'or-

ral offiriel, cela fera quatre candidats

]Sask. 11 venäit de terminer les plans sur les rangs. La lutte promet d'être

du nouveau scolasticat des Oblats à

dination du R. P. Aimé Bertrand, S.J.

qui a eu lieu le dimanche 15 août.

intéressante. Lebret, une belle et vaste construction | Vingt-et-un Jésuites étaiént ordonnés DAT af cr 6 PU digñe du plus distingué des architectes, | prêtres à l'Inmaculéé Conception, ce A l’archevêché. quand la mort est venue le foudroyer.] même jour.

sens

Mgr l'Archevêque est eu tournée de confirmation dans la région de Beren's River. Sa Grandeur a quitté Saint‘Bo- niface jeudi. À

M. l'abbé Aimé Decosse, récemmént ordonné, vient d'être nommé assistant- secrétaire de S, G. Mgr Béliveau. M. Decosse est arrivé à Saint-Boniface samedi et a chanté la grand'messe pa- roissigle dimanche, 11 est aussi cha-|: pelain de l'Hospice Taché.

M. l'abbé Adélard Couture, aussi ré- cemment ordonné et bien connu à Saint-Boniface dont fl est orginaire, a été nommé vicaire à Somerset. Il rem- ‘place M. l'ébbé Mazué, qui s'en va-à Saint-Lupicin, comme vicaire de M. l'abbé Picod.

Agé de 62 ans, Rév. Frère de Bijl CCR en a passé 25 dans les différentés mis- M. et Mme Louis Bétournaÿ, Miles siéns do Manitoba. Pauline et Germaine Bougard, sont Les funérailles bnt eu ïieu mardi pu de leur villégiature à Minaki, matin, à la chapelle du Juniorat des se RR. PP. Oblats, avenue Provencher.

. Au Collège

La réunion du 15 août

Les Anciens sont venus on plus grand nombre cette année. Nous les remercions et nous espérons que ce mouvéiment d'ascension craîtra et que, bientôt, élèves actuels et anuiens 8e- ront assez nombreux pour remplir no- tre belle chapelle,

Pendant la messe, célébrée par le R. P. Recteur, MM. Ferland, P.-E. La-

. D Mme Noël: Sdgaré. de Saint-Pierre, est en, villé, de retour également de Minaki,

D LE ]

Steven Kozar, âgé de 104 ans, est mort jeudi à l’hospice Taché, peu de temps après avoir été reçu dans l'ins- titution. 11 était. en Ukraine sots le règne d'Alexandre ler (1801-25) et était venu au Canada en 1904; il s'était établi comme fermier à Ladywood, Man.

é + + M. A.-C. de la Lande est sorti hier de l'hôpital 11 a subi uné Opération.

DRE TER or BTS TP flèche ét Allard ont chanté avec une .. M. Marius Benoist maître del voix sûrs-et une âme émue les canti-| M. J.-H. Daignauli, secrétaire de l'As- chapelle à la cathédrale ques d'autrefois. sociation d'Education, est parti pour

un voyage de rs * dans l'Est.

M. Gaston Vièi est sérdybur Lébret. .

M. Moïse: Lavallée et ea famille, de la rue Saint-Jean-Baptiste, sont partis

Après la messe, très joyeux déjeuner au réfectoire des élèves; ensuite, on s'aligne, sur les degrés du perron de la porte d'entrée. pour une photogra- phie-souvenir: on se rend enfin dans la "A académique et l'on fait revi- vre, dans des conversations agréables, les choses et les gens d'aujourd'hui. et surtout äu bon vieux temps.

A l'an prochain,

La rentrée

La rentrée pour les pensionnafres aura lieu le mercredi 8 septembre, à 7 b. 30 du soir,

Le lendemain, 9 septembre, tous les autres élèves devront être rendus du Collège à $ h. 45 du matin. 3

Messe du Saint-Esprit à 9h, suivie des promotions, é 4 4029 2———

À Phôtel de ville

«Le consell-de ln ville à -rétusé d'ac- corder de nouvelles licences aux deux hôtel locaux, le “Tourist” et le “Satnt- pe so pl, “rc qu se ent le t et | soumettent pas haie

M: Marius Benoist vient d'être choisi pour remplacer M. HéliG'à la maîtrise de ja cathédrale, M. Benoist était le candidat de tous les mermbtes du choeur de chant. : Ce choix ne fait que consacrer une valeur reconnue et est

la récompense d'états de service 6mi- nents.

M. Behoist.s'est toujours montré un amateur de vraie belle musique, de celle qui élève l'âme et qui parle à nos facultés les plus nobles. 1124 tou-

des parents. d ———— D 2—

Georges Lemay .

;: à SaintPaul de Minnesota, Etats-Unis, le 1er janvier 1857, du ina- riage de Joseph Lemay ët de Camille Auger. 11 fit sès études au collèg de, Saint-Boniface et au sémihaire de Québec, Puis il collabora succéssive- ment . “Journal de Québec”, à l“Evé- , au “Canadien” ét à la “Jus- ls. 1887, il s'n allait fonder

»

vigux chant grégorien et sans nul-doute voudrat-il en doter notre cathédrale.

de l'excellente besogne, et ce-sera une véritable consolation pour lui de son- ‘ser querses eflprts seront eontinués et chaisse: la; baguetie à ut res éépabie continuer l'. ur treprise. ® era Lu Nous -frons à M. L:noist nos meil- leurs xx 0# de succès ét nous nous beaucoup de le voir promu à re po | tapertant 1

Saint-Bohlfäce. Le élub local se pro: }

hippique et ufie rencontte à éu liéu À

M. Gustave Rocan, M. Maxime Rocan,

Pau train, fui souhaitant bon voyage et

Lanthiér à fait dans les divérgés Orga- nigations auxquélles cet

pour une promenade «à Régina, chez!

qui fut favorablement reçu du public.

o fBuletin des Reçherches histort-

La retraite

Et M reiraite fermée? Dépéchèz- vohs!, Déjà plus de 15 noms ét l'on mous en Annonce de nouveaux! .. M. Viel le disait dimanche: Allez-y, vous ne le regretterez pas: Pensons à notte âme de temps à autre; allons voir comment amedder notre vie et. leçon vaut bien:un fromage”.

Fête à M. Viel

M. Viel nous a quittés pou mois pour se rendre À dirigera les travaux les RR. PP. Obla de nombreux 1'Unton, : yoyage.

lusieuts bret il ntürage il

he dernier, is s'étaient rendus à souhaiter à M. Viél bon

le président annonça que M avait l'intention de démission” cpmme directeur de l'Unton. M, Pambrun, notré actif gérant, rappelu les services réndüs par M. Viel et lui exprima nos meilleurs souhaits, l'as- surant de notre gratitude et lui certi- flant que l’on conserverait toujours de lui le plus sympathique souvenir,

En quelques mots bien sentis, M. Viel remercia les officiers de l'Union et dit.son attachement à l'oeuvre, pro- mettant de toujours s'y intéresser, Un programme musical fut exécuté avec le concours de notre orchestre et celui plusieurs artistes en herbe.

Les amis alèrent conduire M. Viel

heureux ‘retour. fe . Notre directeur musical, M. Benoist,

vient d'être appelé à diriger le choeur {1

de la cathédrale, Nous sommes parti culièrement heureux de ce choix et nous le félicitons de tout coeur.

“TRIBUNE LIBRE

Encore la question des affiches Cher .Mohsieur le directeur, |

J'ai; été agréablement surpris. do trou dans le dernier numéro du

“la,

RTS LAS

h tu sa vos tement bons, k "eupiane ce. r

de jure Nes bfjou, de +

Ceët dit et à tela ts que te”émib * local mMétite tout notre encouragement, la question au français reste Ia iiôme. : La ‘pépülution française de Baint-Ha- niface verra toujours d'un mauvhis oeis des appels falts à elle dans une langue »

qui Jui est étrangère et dont elle doit se défehdre, et si l'on ne rencontre pas plus de sympathie daps le cas. présent, * c'est poitêtre que l'on «a trôssé cor- tains séntiments légitimes.

L'on peut évidemment discuter” sir « la manière dont la population de Saint- Boniface a répondu à l'appel fait dns cas présent, maïs l'on ne peut dis-, euter sur le. droit que nous avons de, parler français, ni sur le devuir de le faire toujours et sur le devoir de faire « respecter notre langue partout, C'est la question principalé et c'est ce * que j'ai voulu dire, Ye ;

D'ailleurs, le cas actuel n ‘eut pas. isolé et l'on pourrait écrire tout un volume sur les défaillances dont-notrs-r sommes lés ‘tristes témoins si souveut. , C'est là, je le répète, toute la question; le reste est secondaire, mais a s1ns doute une ceriaine relation avec lo principal, car si l'on ésgñyalt de nous parler dans notre langue, l'on trou ’e-, rait péut-être plus de cinq dollars et moins cinq sous, quand {1 s'agit de | faire l'opération cruelle de descendre dans nos poches, Et ce sefait très,

bien, Car le club mérite encoüragement, ‘* :

et ses directeurs, ainsi que les joucu”s, * sont de bien braves garçons.

UN mit 00 JOUEUR.

journal use réponse ma lettre de A l'autre jour. Tout le monde connaît ||

le dévouement de M, Lanthier et tout |! monde a pu apprécier ce que M,

cellent hoï-

me s'est melé. Tout le Monde sait aus-

si que les oeuvres en général ne ren: <ontrent pas toujours beaucoup de sympathie et ne reçoivent pas l'appui

dont elles ont parfoié besoln, M. Lan- thiér le sait aussi at miénx que pér-

sonné, puisqu'il dit avoir lui-même fait des déboufsés fréquents. Cela ne doit} pas étônher et il en est de même de #!

loutés I28 oeuvres comme de tous ceux qui occupent, et des oeuvres béau-

coup plis importantes ont le mêmé,},

sort.

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Le front comme SE eût vos ,<8 dur ln mer me devant pes | “en aromclier Vépélieme nn ane lama, à de eue qe onmeat que fPMdlens Faut Eux qu mucis had, qui phœas revenus .- @ullues à gagner sans modifier sum Îêsme let &2 ne eurent aucune ann EUR Genbr Bite à De mer et D Et un | sommes 2m" répétet In word. cos valet Bien De peîme qu'u Êrie mu Métimenc secs accident à DES pente aimes ans se mature sus lEne congestihamée. À mit de cet son ancigotée grommotr Jamehène Ülenciete. dune Les mentfeee Super LEE, Qt) À sept cent coisante din miles de pour toute esplce de piager- Ds fours compoés de EL? éécombre an 22 De me paneait s'élever à Le lame pes | Eeecgnel vépemilt Mr Fugg avec un posmagers à deux mille Glass, d'it Fpeuvan fonnthir des trois mile miles pt 2 CRE 6 SU Dent En Le Lobme perte

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LA Re d'en pie = TÉaRÉ trs aus de mans de See" de pes S DMSETT DOS de jme ée à use

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ne s'échap- Le cart ME mangue” pat de ses lèvres, mais son etes drclezss à le be se MS cie cal = : s son regard = re tte cle sarah une finité siaguiière. : dus me fn -2 LL “me À. a ; t Bart 4 me, et, pour qui ne pouvait lire dans appliquez - Janus sœcvest . cette comsciegce, rheumait sin- "ous Ps fon me | , ES _— : paquet, H y a 2m 1 + Je mmsecls D Enes das serres vous Ces que zu pour le traitément En - tie cmutmnt, Jai pe bg #8 Leger Porn. :VORS je mmncims | Fu Putnam est ph Je- DÉT =-2-T | 4 ® - pre

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. , d L Due. Ho ie RENTE CCR 7 ANR pe

L'échevin J:8. MeDiarmid sera le candidat, libéral dans Winnipeg-Sud, contre l’hon. Robert Rogers. Le Dr Geo-Boyd MeTayish a été choisi par les libéraux pour. faire la lutte dans Winnipeg-Nord. Dans Winnipeg Cen- tre-Nord, J.-8. Woüdsworth, député sor- tant, se représente comme travailiste.

» LJ L1 e Mme J. Keir, née Maÿsicotte, de la rue Sargent, est revenue de Montréal, elle était allée visiter sa soeur reli- gieuse, malade à la maison-mère des Soeurs de la Providence. Elle ên a} * profité pour assister à la collation des brevets des élèves de l'Ecole Normale des Trois-Rivières, sh nièce, Mlle Jeanne Massicotte, de la Saskatche-

contre nos en À eus os LE dues ennernies l'Eglise. Nous offrons à ce bon: Père nos meïl. leurs souhalts de succès,

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tembre. CR | 4 La Rév..Mère Valérie-Saint-Jean, pro- vinciale des Filles de la Croix, est de retour d’ Europe elle était allée assister, à Rome, à.la béatification du Bienhéureux André-Hubert Fournet,

fondateur de la Congrégation.’ = —— DD 2 ——

Les fraudeurs seront punis

Tout homme ou femme qui aura vendu du lait mouillé, {1 lui sera mis un entonnoir dans sa gorge et ledit lait mouillé entonné, jusqu'à temps qu'un ‘médecin ou barbier dise qu'il ne peut sans danger de mort avaler da- vantage.

“Tout homme ou femme qui- aura vendu du beurre contenant. navet ou autre chose sera saisi et bien curieu- sement attaché’ à notre pilori de la place de Grève. Puis sera ledit beurre posé rudement sur sa tête et laissé tant'que le soleil ne l'aura pas entière- ment fondu. Péurrônt les chiens le venir lécher et le menu peuple l'outra- ger par telles épithètes diffamatoires qu'il lui plaira,

“Tout homme ou femme qui aura vendu des oeufs pourris ou gâtés sera pris au corps et exposé sur le pilori; seront l+sdiis oeufs abandonnés aux enfants qui, par manière passe temps joyeux, s’ébattront à les lui lan: cer sur le visage pour faire rire‘1e monde; mais ne leur-sera jamais per. mis de lancer autre ordure.

“Tout homme femme qui aura trompé sur le poids ou la quantité, devra payer en bonne monnaie dix fois la différence. La même peine sera appliquée à tout marchand pour cha- que tromperie en-rendant la monnaie”

Cette ordonnance a été publiée sous le règne de Louis le Onrième. j

Serait-il crue} d'indiquer qu'à la ri- page on pourrait la reprendre?

1442

La put: egane duditié

D'après une communication faite

le savant américain Dr Gault, pro--

fesseur de psychologie à la North- western University, au Congrès natio- nal des recherches scientifiques qui vient de términer ses travaux à Wash- ington, les sourds pourront entendre... par le téléphone. 1] y a cinquante ans,

À dit le Dr Gauit, Graham Bell, en cher-

chant un moyen par lequel la voix hy- maine pourrait atteindre l'oreille des sourds, a fini par inventer le télépho- ne, : Aujourd'hui, en se basant sur Je princiun téltpheniqué de : Men, 190 | Gauit déclare en maens-de-coimmiqes 1328

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ca gré exempt de douane au an:

tendl Aimé dés enfants M. Hens façon que les paroles, les mots, "puis | Haaland, ‘de Ciimax, Sask., sent être sentis, non entendus. Les écrit; “Nous trouvons que le vibrations sont senties si distinete-| Novoro du Dr Pierre est un trés ment qu'avec l'habitude elles peuvent | bon remède pour les irrégula- être combinées et former ainsi des rités de. l'estomac de nos en- mots, des phrases, un2. conversation] fants, et nous n'avons aucun dans son ensemble. De même il pour- l'ennui à leur en faire prendre.” fa être possible aux sourds d'entendre | C’est une médecine qui ne fait la musique par le toucher, par la peau, aucun. tort, d’ un goût agréuble; ainsi que les discours prononcés. e£c comme elle n’a jamais man-

D'après le Dr Gault, la sensibilité] qué d’ apporter de bons résul- de la peau augmente par l'usage, par | als, cete yieille préparation vé-

brations de la voix à la peau,

l'exercice. Dans l'histoire du règne | gétale est devenue le lus popu- Coin des rues Lydia et Bas- animal, c'est la peau qui constitue l'o-|jaire des remèdes e famille natyne, L' paroissiale de rellle originelle. Et l'oreille, telle que | qué l’on connaisse. Ce n'est pas tonte

nous l'avons aujourd'hui, n'est autre! un article de droguiste, des qu'un organe qui fonctionne par le

toucher, un organe Épécialisé et rendu | extrêmement sensible. 1

Et le Dr Gault développe l'argument 11 dit que le sourd qui lit sur les lèvres, c’est-à-dire qui, par le mou- vement des lèvres, comprend les pa- roles prononcées par une personne, comprendra , plus facilement ét plus néttement cés paroles s'il peut, en mé- me temps, les sentir en appuyant un doigt sur un instrument sur lequel vi-

Po r ceux de la ville: Dalle ons faites le ma- tin et complétées le même jour. Nous achetons l'or, le caoutchouc, etc, en grandes quantit et le peu de profit que nous À or eus assUu- re de très bas prix. SAUV ABDEZ VOTRE SAN TE FLE pas les sérieuses compili- cations. Remédiez aux petites défec- tuosités dès mgintemant; il vous em ee peu de chose et vous évite- de sérieuses difficultés et de.

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peuvent exister. entre les mots et qui ne peuveñt pas être remarquées vues sur les lèvres, peuvent être senties sur l'instrument par le doigt du sourd. -

Certainement, pour procéder aux.ex- périences nécessaires, 11 faudra avoir des instruments spéciaux. Le labora- toire des téléphones Bell procède déjà à leur fabrication, Et le Dr Gaüit à dit en terminant:

Sans doute, il se passera encore quelque temps avant que les sourds s'habituent 4 dresser leur peau pour entendre, comme nous dreskons, he notre oreille.

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